Reboot du tableau « Allégorie du triomphe de Vénus » du peintre italien Bronzino réalisé vers 1545-1547.
…Vénus et Cupidon s'échangeant un baiser entourés par des figurants personnifiant le Plaisir, la Jalousie et autres joies et peines de l'Amour. Exit les figurants, je ne garde que le couple, l’étreinte. Magique. Comme l’illusion de la femme coupée en deux.
Reboot du tableau « Allégorie du triomphe de Vénus » du peintre italien Bronzino réalisé vers 1545-1547.
…Vénus et Cupidon s'échangeant un baiser entourés par des figurants personnifiant le Plaisir, la Jalousie et autres joies et peines de l'Amour. Exit les figurants, je ne garde que le couple, l’étreinte. Magique. Comme l’illusion de la femme coupée en deux.
Le mur de mon atelier, là où échouent tout les supports masquant pour mes toiles. Rubans-pochoirs adhésifs s'y agglutinent comme des vieux navires dans un cimetière de bateaux. Ces épaves possèdent une beauté particulière. Une spontanéité et diversité parfois magique, surtout lorsqu'elles sont regroupées pour raconter une autre histoire.
Le mur de mon atelier, là où échouent tout les supports masquant pour mes toiles. Rubans-pochoirs adhésifs s'y agglutinent comme des vieux navires dans un cimetière de bateaux. Ces épaves possèdent une beauté particulière. Une spontanéité et diversité parfois magique, surtout lorsqu'elles sont regroupées pour raconter une autre histoire.
"Au Danger Mon Plaisir" est une œuvre réalisée à quatre mains. Collaboration avec l'artiste DaCollages. Créé pour l'exposition collective Métamorphe #2 sur la thématique de la place de la Femme dans l’Art à la galerie Superposition - mai 2019.
"Au Danger Mon Plaisir" est une œuvre réalisée à quatre mains. Collaboration avec l'artiste DaCollages. Créé pour l'exposition collective Métamorphe #2 sur la thématique de la place de la Femme dans l’Art à la galerie Superposition - mai 2019.
Série inspirée par les comics Marvel. Mise en exergue d’une figure, l’essence d’une silhouette figée dans l’action. Quelques indices pour amorcer une recherche vers une vérité qui est forcément ailleurs. Des femmes et des hommes annonçant une aventure confinée et intense.
Des aventures intérieures.
Ex-voto à la gloire de figures marquantes de l’art au sens large.
Série inspirée par les comics Marvel. Mise en exergue d’une figure, l’essence d’une silhouette figée dans l’action. Quelques indices pour amorcer une recherche vers une vérité qui est forcément ailleurs. Des femmes et des hommes annonçant une aventure confinée et intense.
Des aventures intérieures.
Ex-voto à la gloire de figures marquantes de l’art au sens large.
Ma série « AVENTURES INTÉRIEURES » continue. Toujours autour de femmes et d’hommes qui auront marqué l’histoire d’une manière créative.
Semeurs d’indices pour amorcer une recherche vers une vérité qui est forcément ailleurs.
No.12 : Aldous & Laura Huxley, Arthur Stoll, Albert Hofmann.
No.13 : Alan Ginsberg, John Cunningham Lilly, Timothy Leary.
Tous ont cherché à ouvrir leur champs des perceptions. Quelques soit les moyens, méthodes. Loin des clichés, sans jugement. Scientifiques, écrivains, artistes, … Ils ont pâti de leur curiosité qui leur a fermé des portes. Mais rien n’est fermé à jamais ; on s’intéresse à nouveau à ces champs des possibles. Ce qu’on appelle “La renaissance psychédélique”...
Terminer un tableau est un soulagement. Comme une longue conversation en bonne compagnie qui se termine tard. Un doux mélange de vérité et de n’importe quoi. Des émotions partagées. On va se coucher avec une bonne fatigue, pas sûr d’avoir tout compris, mais heureux et repu du moment vécu.
Eclaté, bouillonnant, chargé, dense, sensuel, vivant, torrentiel, rituel, shamanique, ludique, orgasmique… Les mots qui évoquent l’ambiance dans laquelle ce travail m’a plongé.
Pour le titre j'ai eu du mal à figer l'histoire. Comme me disait une amie, ça laisse de la liberté pour celui qui regarde.
Terminer un tableau est un soulagement. Comme une longue conversation en bonne compagnie qui se termine tard. Un doux mélange de vérité et de n’importe quoi. Des émotions partagées. On va se coucher avec une bonne fatigue, pas sûr d’avoir tout compris, mais heureux et repu du moment vécu.
Eclaté, bouillonnant, chargé, dense, sensuel, vivant, torrentiel, rituel, shamanique, ludique, orgasmique… Les mots qui évoquent l’ambiance dans laquelle ce travail m’a plongé.
Pour le titre j'ai eu du mal à figer l'histoire. Comme me disait une amie, ça laisse de la liberté pour celui qui regarde.
Terminer un tableau est un soulagement. Comme une longue conversation en bonne compagnie qui se termine tard. Un doux mélange de vérité et de n’importe quoi. Des émotions partagées. On va se coucher avec une bonne fatigue, pas sûr d’avoir tout compris, mais heureux et repu du moment vécu.
Eclaté, bouillonnant, chargé, dense, sensuel, vivant, torrentiel, rituel, shamanique, ludique, orgasmique… Les mots qui évoquent l’ambiance dans laquelle ce travail m’a plongé.
Pour le titre j'ai eu du mal à figer l'histoire. Comme me disait une amie, ça laisse de la liberté pour celui qui regarde.
Terminer un tableau est un soulagement. Comme une longue conversation en bonne compagnie qui se termine tard. Un doux mélange de vérité et de n’importe quoi. Des émotions partagées. On va se coucher avec une bonne fatigue, pas sûr d’avoir tout compris, mais heureux et repu du moment vécu.
Eclaté, bouillonnant, chargé, dense, sensuel, vivant, torrentiel, rituel, shamanique, ludique, orgasmique… Les mots qui évoquent l’ambiance dans laquelle ce travail m’a plongé.
Pour le titre j'ai eu du mal à figer l'histoire. Comme me disait une amie, ça laisse de la liberté pour celui qui regarde.
Terminer un tableau est un soulagement. Comme une longue conversation en bonne compagnie qui se termine tard. Un doux mélange de vérité et de n’importe quoi. Des émotions partagées. On va se coucher avec une bonne fatigue, pas sûr d’avoir tout compris, mais heureux et repu du moment vécu.
Eclaté, bouillonnant, chargé, dense, sensuel, vivant, torrentiel, rituel, shamanique, ludique, orgasmique… Les mots qui évoquent l’ambiance dans laquelle ce travail m’a plongé.
Pour le titre j'ai eu du mal à figer l'histoire. Comme me disait une amie, ça laisse de la liberté pour celui qui regarde.
Les images pieuses éblouissent de par la finesse d'impression. Elles sont aussi, à mes yeux, remplies de paradoxes. Propices aux double sens cachés.
Un prédateur comme sujet, composé à partir d'éléments évoquant la rédemption, la spiritualité, la mystique, la vie, la mort...
Expériences intérieures, réalité transcendante.
Convergence évolutive : mécanisme évolutif ayant conduit des organismes vivants à développer, indépendamment les uns des autres, des adaptations physiologiques, morphologiques, sociales ou comportementales similaires face à des contraintes écologiques comparables sans les avoir héritées d'un ancêtre commun.
— L’oiseau, annoncant le printemps, perché sur un bout de ciel, comme déchiré, arraché. Un perchoir qui s’apparente à une branche cassée mais dont le centre est toujours vivant; prêt à repousser. La flèche, électrique, évoque autant le dynamisme de l’oiseau que sa fragilité. Comme les éléments électriques qu’il faut manipuler avec précautions.
— L’espéranto est une langue construite, proposée en 1887 par un jeune médecin ophtalmologiste, pour faciliter la communication entre tous ceux qui n’ont pas la même langue maternelle. Il a signé son projet de langue par « Doktoro Esperanto », d’où le nom de la langue.
Sa conception rationnelle permet d’atteindre un niveau d’usage en quelques mois d’apprentissage. Reconnu par l’Unesco, l’espéranto est parlé sur les cinq continents, dans plus de 120 pays. Le nombre de locuteurs estimé entre 3 et 10 millions.
— L’oiseau, annoncant le printemps, perché sur un bout de ciel, comme déchiré, arraché. Un perchoir qui s’apparente à une branche cassée mais dont le centre est toujours vivant; prêt à repousser. La flèche, électrique, évoque autant le dynamisme de l’oiseau que sa fragilité. Comme les éléments électriques qu’il faut manipuler avec précautions.
— L’espéranto est une langue construite, proposée en 1887 par un jeune médecin ophtalmologiste, pour faciliter la communication entre tous ceux qui n’ont pas la même langue maternelle. Il a signé son projet de langue par « Doktoro Esperanto », d’où le nom de la langue.
Sa conception rationnelle permet d’atteindre un niveau d’usage en quelques mois d’apprentissage. Reconnu par l’Unesco, l’espéranto est parlé sur les cinq continents, dans plus de 120 pays. Le nombre de locuteurs estimé entre 3 et 10 millions.
J'ai réalisé ce tableau en une semaine.
Plutôt rapide pour moi.
Truffé d'éléments personnels, je préfère ne pas trop dévoiler afin de laisser l'ouverture à des interprétations multiples.
Le titre Curieux voyage le paysage est emprunté à la chanson Loon du groupe Grand Blanc.
Destinataire, sujet, contexte, tout était clair quand à la finalité du tableau.
Le déroulement fut spontané, fluide et naturel.
Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n'est ni fortuite ni involontaire.
J'ai réalisé ce tableau en une semaine.
Plutôt rapide pour moi.
Truffé d'éléments personnels, je préfère ne pas trop dévoiler afin de laisser l'ouverture à des interprétations multiples.
Le titre Curieux voyage le paysage est emprunté à la chanson Loon du groupe Grand Blanc.
Destinataire, sujet, contexte, tout était clair quand à la finalité du tableau.
Le déroulement fut spontané, fluide et naturel.
Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n'est ni fortuite ni involontaire.
J'ai réalisé ce tableau en une semaine.
Plutôt rapide pour moi.
Truffé d'éléments personnels, je préfère ne pas trop dévoiler afin de laisser l'ouverture à des interprétations multiples.
Le titre Curieux voyage le paysage est emprunté à la chanson Loon du groupe Grand Blanc.
Destinataire, sujet, contexte, tout était clair quand à la finalité du tableau.
Le déroulement fut spontané, fluide et naturel.
Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n'est ni fortuite ni involontaire.
J'ai réalisé ce tableau en une semaine.
Plutôt rapide pour moi.
Truffé d'éléments personnels, je préfère ne pas trop dévoiler afin de laisser l'ouverture à des interprétations multiples.
Le titre Curieux voyage le paysage est emprunté à la chanson Loon du groupe Grand Blanc.
Destinataire, sujet, contexte, tout était clair quand à la finalité du tableau.
Le déroulement fut spontané, fluide et naturel.
Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n'est ni fortuite ni involontaire.
Un Hot Rod est une automobile de collection restaurée, préparée, tenant à la fois du tuning et du vintage. Les modèles de prédilection sont les premières Ford T, Ford A II, et Ford B II. Dans la culture Kustom, le Ford est surnommé The Deuce.
Après la Seconde Guerre mondiale, les soldats démobilisés rentrent aux États-Unis, reçoivent une formation de leur choix, notamment en mécanique, pour leur permettre de trouver un emploi. Leurs pensions d'anciens militaires ne leur permettent généralement d'acheter que des voitures d'occasions d'avant-guerre, qu'ils améliorent et personnifient eux-mêmes en y adaptant si possible des moteurs V8 plus récents, provenant de voitures récentes et accidentées (ou même parfois volées). Ce phénomène de culte du hot rod marque profondément la culture de la jeunesse américaine de l'époque (Kustom Kulture).
À l'origine de ce tableau, une commande privée motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par une personne chère au yeux du commanditaire. Selon ses dires : "s'il en fut une, Simone fut ma muse… M'apprenant l'ouverture, l'intelligence, le raffinement, l'esprit… elle a fait partie du personnel d'origine de l'ONU, dès sa création après la guerre en tant que traductrice. Elle a vécue avec le peintre Alfred Pellan dans les années 40. Fernand Léger tomba fou amoureux d’elle jusqu’à la demander en mariage. Elle refusa. Trop vieux. À la fin des années 50 elle joindra une délégation de l'ONU en Somalie où elle vivra et travaillera 2 ans. Elle y connaîtra Pepino, général italien qui deviendra son mari et qui l’emmènera vivre à Rome. Grande amatrice de dry Martini, elle fumait beaucoup, lisait beaucoup, s'intéressait à tout et avait un esprit libre et indépendant comme bien peu de femme à cette époque. »
Construit autour du portrait de Simone, ce tableau s'inspire de plusieurs éléments, détails, qui eux-mêmes renvoient à d'autres, comme un jeu de pistes multiples. Chaque image rapportée, chaque mot y figurant a, de près ou de loin, sa propre légitimité dans l'histoire.
Le collage commence par un emprunt. Un petit bout de l’intimité de quelqu’un que je réinterprete. Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion. Comme une communion harmonieuse entre le terrestre humain et les esprits intemporels. Avant tout, respecter la personne qui t’inspire et l’histoire qu'elle me donne à raconter. Devoir de mémoire d'une réalité sublimée.
Véritable communion avec le sujet, l’élaboration de ce tableau ne fut qu’une suite de moments privilégiés où j'étais à la fois acteur, témoin, traducteur, spectateur... Grand merci à D. de m'avoir fait confiance. Merci de m'avoir laissé entrer dans l'univers de Simone si précieux à tes yeux. Je la connais bien maintenant. Nous sommes devenu amis.
À l'origine de ce tableau, une commande privée motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par une personne chère au yeux du commanditaire. Selon ses dires : "s'il en fut une, Simone fut ma muse… M'apprenant l'ouverture, l'intelligence, le raffinement, l'esprit… elle a fait partie du personnel d'origine de l'ONU, dès sa création après la guerre en tant que traductrice. Elle a vécue avec le peintre Alfred Pellan dans les années 40. Fernand Léger tomba fou amoureux d’elle jusqu’à la demander en mariage. Elle refusa. Trop vieux. À la fin des années 50 elle joindra une délégation de l'ONU en Somalie où elle vivra et travaillera 2 ans. Elle y connaîtra Pepino, général italien qui deviendra son mari et qui l’emmènera vivre à Rome. Grande amatrice de dry Martini, elle fumait beaucoup, lisait beaucoup, s'intéressait à tout et avait un esprit libre et indépendant comme bien peu de femme à cette époque. »
Construit autour du portrait de Simone, ce tableau s'inspire de plusieurs éléments, détails, qui eux-mêmes renvoient à d'autres, comme un jeu de pistes multiples. Chaque image rapportée, chaque mot y figurant a, de près ou de loin, sa propre légitimité dans l'histoire.
Le collage commence par un emprunt. Un petit bout de l’intimité de quelqu’un que je réinterprete. Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion. Comme une communion harmonieuse entre le terrestre humain et les esprits intemporels. Avant tout, respecter la personne qui t’inspire et l’histoire qu'elle me donne à raconter. Devoir de mémoire d'une réalité sublimée.
Véritable communion avec le sujet, l’élaboration de ce tableau ne fut qu’une suite de moments privilégiés où j'étais à la fois acteur, témoin, traducteur, spectateur... Grand merci à D. de m'avoir fait confiance. Merci de m'avoir laissé entrer dans l'univers de Simone si précieux à tes yeux. Je la connais bien maintenant. Nous sommes devenu amis.
À l'origine de ce tableau, une commande privée motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par une personne chère au yeux du commanditaire. Selon ses dires : "s'il en fut une, Simone fut ma muse… M'apprenant l'ouverture, l'intelligence, le raffinement, l'esprit… elle a fait partie du personnel d'origine de l'ONU, dès sa création après la guerre en tant que traductrice. Elle a vécue avec le peintre Alfred Pellan dans les années 40. Fernand Léger tomba fou amoureux d’elle jusqu’à la demander en mariage. Elle refusa. Trop vieux. À la fin des années 50 elle joindra une délégation de l'ONU en Somalie où elle vivra et travaillera 2 ans. Elle y connaîtra Pepino, général italien qui deviendra son mari et qui l’emmènera vivre à Rome. Grande amatrice de dry Martini, elle fumait beaucoup, lisait beaucoup, s'intéressait à tout et avait un esprit libre et indépendant comme bien peu de femme à cette époque. »
Construit autour du portrait de Simone, ce tableau s'inspire de plusieurs éléments, détails, qui eux-mêmes renvoient à d'autres, comme un jeu de pistes multiples. Chaque image rapportée, chaque mot y figurant a, de près ou de loin, sa propre légitimité dans l'histoire.
Le collage commence par un emprunt. Un petit bout de l’intimité de quelqu’un que je réinterprete. Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion. Comme une communion harmonieuse entre le terrestre humain et les esprits intemporels. Avant tout, respecter la personne qui t’inspire et l’histoire qu'elle me donne à raconter. Devoir de mémoire d'une réalité sublimée.
Véritable communion avec le sujet, l’élaboration de ce tableau ne fut qu’une suite de moments privilégiés où j'étais à la fois acteur, témoin, traducteur, spectateur... Grand merci à D. de m'avoir fait confiance. Merci de m'avoir laissé entrer dans l'univers de Simone si précieux à tes yeux. Je la connais bien maintenant. Nous sommes devenu amis.
À l'origine de ce tableau, une commande privée motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par une personne chère au yeux du commanditaire. Selon ses dires : "s'il en fut une, Simone fut ma muse… M'apprenant l'ouverture, l'intelligence, le raffinement, l'esprit… elle a fait partie du personnel d'origine de l'ONU, dès sa création après la guerre en tant que traductrice. Elle a vécue avec le peintre Alfred Pellan dans les années 40. Fernand Léger tomba fou amoureux d’elle jusqu’à la demander en mariage. Elle refusa. Trop vieux. À la fin des années 50 elle joindra une délégation de l'ONU en Somalie où elle vivra et travaillera 2 ans. Elle y connaîtra Pepino, général italien qui deviendra son mari et qui l’emmènera vivre à Rome. Grande amatrice de dry Martini, elle fumait beaucoup, lisait beaucoup, s'intéressait à tout et avait un esprit libre et indépendant comme bien peu de femme à cette époque. »
Construit autour du portrait de Simone, ce tableau s'inspire de plusieurs éléments, détails, qui eux-mêmes renvoient à d'autres, comme un jeu de pistes multiples. Chaque image rapportée, chaque mot y figurant a, de près ou de loin, sa propre légitimité dans l'histoire.
Le collage commence par un emprunt. Un petit bout de l’intimité de quelqu’un que je réinterprete. Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion. Comme une communion harmonieuse entre le terrestre humain et les esprits intemporels. Avant tout, respecter la personne qui t’inspire et l’histoire qu'elle me donne à raconter. Devoir de mémoire d'une réalité sublimée.
Véritable communion avec le sujet, l’élaboration de ce tableau ne fut qu’une suite de moments privilégiés où j'étais à la fois acteur, témoin, traducteur, spectateur... Grand merci à D. de m'avoir fait confiance. Merci de m'avoir laissé entrer dans l'univers de Simone si précieux à tes yeux. Je la connais bien maintenant. Nous sommes devenu amis.
À l'origine de ce tableau, une commande privée motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par une personne chère au yeux du commanditaire. Selon ses dires : "s'il en fut une, Simone fut ma muse… M'apprenant l'ouverture, l'intelligence, le raffinement, l'esprit… elle a fait partie du personnel d'origine de l'ONU, dès sa création après la guerre en tant que traductrice. Elle a vécue avec le peintre Alfred Pellan dans les années 40. Fernand Léger tomba fou amoureux d’elle jusqu’à la demander en mariage. Elle refusa. Trop vieux. À la fin des années 50 elle joindra une délégation de l'ONU en Somalie où elle vivra et travaillera 2 ans. Elle y connaîtra Pepino, général italien qui deviendra son mari et qui l’emmènera vivre à Rome. Grande amatrice de dry Martini, elle fumait beaucoup, lisait beaucoup, s'intéressait à tout et avait un esprit libre et indépendant comme bien peu de femme à cette époque. »
Construit autour du portrait de Simone, ce tableau s'inspire de plusieurs éléments, détails, qui eux-mêmes renvoient à d'autres, comme un jeu de pistes multiples. Chaque image rapportée, chaque mot y figurant a, de près ou de loin, sa propre légitimité dans l'histoire.
Le collage commence par un emprunt. Un petit bout de l’intimité de quelqu’un que je réinterprete. Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion. Comme une communion harmonieuse entre le terrestre humain et les esprits intemporels. Avant tout, respecter la personne qui t’inspire et l’histoire qu'elle me donne à raconter. Devoir de mémoire d'une réalité sublimée.
Véritable communion avec le sujet, l’élaboration de ce tableau ne fut qu’une suite de moments privilégiés où j'étais à la fois acteur, témoin, traducteur, spectateur... Grand merci à D. de m'avoir fait confiance. Merci de m'avoir laissé entrer dans l'univers de Simone si précieux à tes yeux. Je la connais bien maintenant. Nous sommes devenu amis.
Une éclipse solaire se produit lorsque la lune se place devant le soleil, occultant totalement ou partiellement l'image du soleil depuis la Terre. Cette configuration peut se produire uniquement durant la nouvelle lune, quand le soleil et la lune sont en conjonction par rapport à la Terre. L'inconscient occultant totalement ou partiellement la réalité. Et vice et versa. Interaction intérieur / extérieur. Hommage à Julie, 90 ans, d'après une photo prise en 1958. Membre le plus agé de la tribu des Yagans, peuple amérindien qui habitait la partie sud de la Grande Île de Terre de Feu. Une gravure originale d'éclipse (extraite du livre "Le Ciel" éd. Hachette, 1913) masque son regard, par pudeur et respect de son âme. Le collage commence par un emprunt. Ma démarche s’inscrit dans une ligne de conduite «morale» face à l’histoire dont je m’approprie, les personnes, les objets, les lieux...
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 40 x 50 cm
Toile réalisée au profit du projet Vénus à partir d’une photographie de Xavier Topalian. Le projet Vénus mis en place par le Centre d'Art Spacejunk a pour but de faire la promotion du dépistage du cancer du sein via l'action artistique.
À l'origine de ce tableau, une commande motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par un lieu et les personnes, animaux qui y vivent. North Hatley, le lac Massawipi, une maison, un chien, des chiens, des chats, des oiseaux, des saisons... Bref tout un monde qui s'est forgé autour d'une volonté, d'un rêve un peu fou : bâtir un espace de vie sur une montagne encore vierge; cohabiter avec la vie déjà en place sur le lieu. Quête de liberté, d'équilibre et d'harmonie. Pour le long terme. C'est ce que j'ai ressenti en visitant le lieu. Ce que j'ai ramené comme source d'inspiration. L'oiseau, un cardinal à poitrine rouge, n'était au départ qu'une demande spéciale, à faire figurer discrètement. Il finit par s'imposer comme figure centrale du tableau. Une posture majestueuse, fière et dominante. De par sa liberté de mouvement, sans attache, maître de tout sans rien posséder. J'ai trouvé en lui le socle narratif pour élaborer un ensemble riche de plusieurs références. Errances dimensionnelles; une 4eme dimension qui mélange les temps (passé, présent, futur), les saisons, les éléments... dans laquelle l’oiseau évolue en toute liberté. C'est en quelque sorte le gardien du temple. Il va partout, voit tout. Il est chez lui partout, toujours en exil.
À l'origine de ce tableau, une commande motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par un lieu et les personnes, animaux qui y vivent. North Hatley, le lac Massawipi, une maison, un chien, des chiens, des chats, des oiseaux, des saisons... Bref tout un monde qui s'est forgé autour d'une volonté, d'un rêve un peu fou : bâtir un espace de vie sur une montagne encore vierge; cohabiter avec la vie déjà en place sur le lieu. Quête de liberté, d'équilibre et d'harmonie. Pour le long terme. C'est ce que j'ai ressenti en visitant le lieu. Ce que j'ai ramené comme source d'inspiration. L'oiseau, un cardinal à poitrine rouge, n'était au départ qu'une demande spéciale, à faire figurer discrètement. Il finit par s'imposer comme figure centrale du tableau. Une posture majestueuse, fière et dominante. De par sa liberté de mouvement, sans attache, maître de tout sans rien posséder. J'ai trouvé en lui le socle narratif pour élaborer un ensemble riche de plusieurs références. Errances dimensionnelles; une 4eme dimension qui mélange les temps (passé, présent, futur), les saisons, les éléments... dans laquelle l’oiseau évolue en toute liberté. C'est en quelque sorte le gardien du temple. Il va partout, voit tout. Il est chez lui partout, toujours en exil.
À l'origine de ce tableau, une commande motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par un lieu et les personnes, animaux qui y vivent. North Hatley, le lac Massawipi, une maison, un chien, des chiens, des chats, des oiseaux, des saisons... Bref tout un monde qui s'est forgé autour d'une volonté, d'un rêve un peu fou : bâtir un espace de vie sur une montagne encore vierge; cohabiter avec la vie déjà en place sur le lieu. Quête de liberté, d'équilibre et d'harmonie. Pour le long terme. C'est ce que j'ai ressenti en visitant le lieu. Ce que j'ai ramené comme source d'inspiration. L'oiseau, un cardinal à poitrine rouge, n'était au départ qu'une demande spéciale, à faire figurer discrètement. Il finit par s'imposer comme figure centrale du tableau. Une posture majestueuse, fière et dominante. De par sa liberté de mouvement, sans attache, maître de tout sans rien posséder. J'ai trouvé en lui le socle narratif pour élaborer un ensemble riche de plusieurs références. Errances dimensionnelles; une 4eme dimension qui mélange les temps (passé, présent, futur), les saisons, les éléments... dans laquelle l’oiseau évolue en toute liberté. C'est en quelque sorte le gardien du temple. Il va partout, voit tout. Il est chez lui partout, toujours en exil.
À l'origine de ce tableau, une commande motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par un lieu et les personnes, animaux qui y vivent. North Hatley, le lac Massawipi, une maison, un chien, des chiens, des chats, des oiseaux, des saisons... Bref tout un monde qui s'est forgé autour d'une volonté, d'un rêve un peu fou : bâtir un espace de vie sur une montagne encore vierge; cohabiter avec la vie déjà en place sur le lieu. Quête de liberté, d'équilibre et d'harmonie. Pour le long terme. C'est ce que j'ai ressenti en visitant le lieu. Ce que j'ai ramené comme source d'inspiration. L'oiseau, un cardinal à poitrine rouge, n'était au départ qu'une demande spéciale, à faire figurer discrètement. Il finit par s'imposer comme figure centrale du tableau. Une posture majestueuse, fière et dominante. De par sa liberté de mouvement, sans attache, maître de tout sans rien posséder. J'ai trouvé en lui le socle narratif pour élaborer un ensemble riche de plusieurs références. Errances dimensionnelles; une 4eme dimension qui mélange les temps (passé, présent, futur), les saisons, les éléments... dans laquelle l’oiseau évolue en toute liberté. C'est en quelque sorte le gardien du temple. Il va partout, voit tout. Il est chez lui partout, toujours en exil.
À l'origine de ce tableau, une commande motivée par le souhait d'une œuvre inspirée par un lieu et les personnes, animaux qui y vivent. North Hatley, le lac Massawipi, une maison, un chien, des chiens, des chats, des oiseaux, des saisons... Bref tout un monde qui s'est forgé autour d'une volonté, d'un rêve un peu fou : bâtir un espace de vie sur une montagne encore vierge; cohabiter avec la vie déjà en place sur le lieu. Quête de liberté, d'équilibre et d'harmonie. Pour le long terme. C'est ce que j'ai ressenti en visitant le lieu. Ce que j'ai ramené comme source d'inspiration. L'oiseau, un cardinal à poitrine rouge, n'était au départ qu'une demande spéciale, à faire figurer discrètement. Il finit par s'imposer comme figure centrale du tableau. Une posture majestueuse, fière et dominante. De par sa liberté de mouvement, sans attache, maître de tout sans rien posséder. J'ai trouvé en lui le socle narratif pour élaborer un ensemble riche de plusieurs références. Errances dimensionnelles; une 4eme dimension qui mélange les temps (passé, présent, futur), les saisons, les éléments... dans laquelle l’oiseau évolue en toute liberté. C'est en quelque sorte le gardien du temple. Il va partout, voit tout. Il est chez lui partout, toujours en exil.
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 30 x 40 cm
évanescence: Propriété de ce qui s'évanouit, s'efface.
Portrait de Will James, de son vrai nom Ernest Nephtali Dufault, (6 juin 1892 à Saint-Nazaire-d'Acton, Québec - 3 septembre 1942 Hollywood) s'est surtout fait connaître comme écrivain et artiste illustrateur aux États-Unis.
Ernest Dufault, alias Will James, a eu un parcours étonnant qui mérite qu’on s’y attarde. Parmi les célèbres hors-la-loi ayant marqués l’histoire de l’Ouest, un Canadien français est devenu une véritable légende. Comment un Québécois pure laine a-t-il pu devenir un romancier américain célèbre et le cow-boy le plus authentique de Hollywood? En fabulant! C’est l’histoire invraisemblable d’Ernest Dufault qui, avec la complicité tacite de sa famille, a réussi à séduire (et tromper) pendant trente ans la royauté européenne et la société américaine. Voleur de chevaux, vagabond, artiste et écrivain, Will James est encore aujourd’hui, dans le Far West américain, un personnage mythique.
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 30 x 40 cm
évanescence: Propriété de ce qui s'évanouit, s'efface.
Portrait de Will James, de son vrai nom Ernest Nephtali Dufault, (6 juin 1892 à Saint-Nazaire-d'Acton, Québec - 3 septembre 1942 Hollywood) s'est surtout fait connaître comme écrivain et artiste illustrateur aux États-Unis.
Ernest Dufault, alias Will James, a eu un parcours étonnant qui mérite qu’on s’y attarde. Parmi les célèbres hors-la-loi ayant marqués l’histoire de l’Ouest, un Canadien français est devenu une véritable légende. Comment un Québécois pure laine a-t-il pu devenir un romancier américain célèbre et le cow-boy le plus authentique de Hollywood? En fabulant! C’est l’histoire invraisemblable d’Ernest Dufault qui, avec la complicité tacite de sa famille, a réussi à séduire (et tromper) pendant trente ans la royauté européenne et la société américaine. Voleur de chevaux, vagabond, artiste et écrivain, Will James est encore aujourd’hui, dans le Far West américain, un personnage mythique.
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
En plein ménage dans la maison familiale, je retrouve les boîtes de mes jouets préférés, usées par le temps et gorgées de souvenirs. Mondes imaginaires dans lesquels j'ai voyagé sans passeport.
Le personnage de GIJOE tenait à cette époque plus de l'explorateur que du militaire. Il n'en reste pas moins qu'il est imprégné, comme la poupée Barbie, des clichés, stéréotypes propres à cette période d'insouciance généralisée qu'ont été les années 60-70.
L'illustration de la boîte revet un aspect aujourd'hui désuet, voir troublant avec le chapeau colonial ; peintures réalistes d'un univers phantasmé. Loin de moi l'idée d'en faire un manifeste mais plutôt l'occasion de regarder avec le recul cette iconographie du jouet, du jeu, de l'imagination, de l'enfance. Et qu'au final l'écho de cet imaginaire révèle les failles de notre époque contemporaine. C'est le principe même de l'histoire.
Les deux emballages ayant la même dimension, l'idée d'un dyptique me semblait logique. Sur le visuel "Hélicoptère", le personnage s'apprête à porter secours. Mais à qui ? C'est la clé de la narration picturale qui s'ammorce. Contrairement à l'illustration "Jeep", avec son personnage aux allures de conquérant néo-colonialiste, il y a moins d'ambiguité sur celle-ci. Mais certains mots sont porteurs d'un potentiel double-sens...
La galerie Atelier du canal déniche de vieux vinyles qui trouvent une nouvelle jeunesse dans les mains des artistes. Travailler sur un support déjà empreint d’une histoire artistique est riche et émouvant. Celui que j’ai choisi porte le titre Fleur du passé, interprété par Anny Gould. J’ai fais sa connaissance sur wikipedia et maintenant on se fait la bise sur spotify. Allez la saluer de ma part.
Immersion : Fait de se retrouver dans un milieu étranger sans contact direct avec son milieu d'origine.
Reflets organiques, ondulants, fusionnants. Frénésie d'atomes, accélérateur de particules.
Sous le calme la tempête.
Perte de repère. Où est le fond, où est la surface. Le ciel infini et les abysses insondables. Un espace sans début ni fin.
Apesanteur entre deux mondes. Les éléments se mélangent. L'eau, l'air, la terre. Chaque environnement sa communauté. Les territoires sont défendus, quittés, envahis, découverts.
Depuis toujours les océans engendrent multiples histoires de dualité. La crainte de l'inconnu. La peur engendrée par l'ignorance. La peur comme moteur. La peur qui inspire.
La beauté du danger.
Le vaincre c'est vivre.
Maîtriser pour connaître
ou connaître pour maîtriser
Dominer ou cohabiter
_
Ça semble compliqué dit comme ça mais dans ma tête c'est simple.
Ou c'est peut-être l'inverse...
Immersion : Fait de se retrouver dans un milieu étranger sans contact direct avec son milieu d'origine.
Reflets organiques, ondulants, fusionnants. Frénésie d'atomes, accélérateur de particules.
Sous le calme la tempête.
Perte de repère. Où est le fond, où est la surface. Le ciel infini et les abysses insondables. Un espace sans début ni fin.
Apesanteur entre deux mondes. Les éléments se mélangent. L'eau, l'air, la terre. Chaque environnement sa communauté. Les territoires sont défendus, quittés, envahis, découverts.
Depuis toujours les océans engendrent multiples histoires de dualité. La crainte de l'inconnu. La peur engendrée par l'ignorance. La peur comme moteur. La peur qui inspire.
La beauté du danger.
Le vaincre c'est vivre.
Maîtriser pour connaître
ou connaître pour maîtriser
Dominer ou cohabiter
_
Ça semble compliqué dit comme ça mais dans ma tête c'est simple.
Ou c'est peut-être l'inverse...
Immersion : Fait de se retrouver dans un milieu étranger sans contact direct avec son milieu d'origine.
Reflets organiques, ondulants, fusionnants. Frénésie d'atomes, accélérateur de particules.
Sous le calme la tempête.
Perte de repère. Où est le fond, où est la surface. Le ciel infini et les abysses insondables. Un espace sans début ni fin.
Apesanteur entre deux mondes. Les éléments se mélangent. L'eau, l'air, la terre. Chaque environnement sa communauté. Les territoires sont défendus, quittés, envahis, découverts.
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La beauté du danger.
Le vaincre c'est vivre.
Maîtriser pour connaître
ou connaître pour maîtriser
Dominer ou cohabiter
_
Ça semble compliqué dit comme ça mais dans ma tête c'est simple.
Ou c'est peut-être l'inverse...
Immersion : Fait de se retrouver dans un milieu étranger sans contact direct avec son milieu d'origine.
Reflets organiques, ondulants, fusionnants. Frénésie d'atomes, accélérateur de particules.
Sous le calme la tempête.
Perte de repère. Où est le fond, où est la surface. Le ciel infini et les abysses insondables. Un espace sans début ni fin.
Apesanteur entre deux mondes. Les éléments se mélangent. L'eau, l'air, la terre. Chaque environnement sa communauté. Les territoires sont défendus, quittés, envahis, découverts.
Depuis toujours les océans engendrent multiples histoires de dualité. La crainte de l'inconnu. La peur engendrée par l'ignorance. La peur comme moteur. La peur qui inspire.
La beauté du danger.
Le vaincre c'est vivre.
Maîtriser pour connaître
ou connaître pour maîtriser
Dominer ou cohabiter
_
Ça semble compliqué dit comme ça mais dans ma tête c'est simple.
Ou c'est peut-être l'inverse...
Immersion : Fait de se retrouver dans un milieu étranger sans contact direct avec son milieu d'origine.
Reflets organiques, ondulants, fusionnants. Frénésie d'atomes, accélérateur de particules.
Sous le calme la tempête.
Perte de repère. Où est le fond, où est la surface. Le ciel infini et les abysses insondables. Un espace sans début ni fin.
Apesanteur entre deux mondes. Les éléments se mélangent. L'eau, l'air, la terre. Chaque environnement sa communauté. Les territoires sont défendus, quittés, envahis, découverts.
Depuis toujours les océans engendrent multiples histoires de dualité. La crainte de l'inconnu. La peur engendrée par l'ignorance. La peur comme moteur. La peur qui inspire.
La beauté du danger.
Le vaincre c'est vivre.
Maîtriser pour connaître
ou connaître pour maîtriser
Dominer ou cohabiter
_
Ça semble compliqué dit comme ça mais dans ma tête c'est simple.
Ou c'est peut-être l'inverse...
Le collage commence par un emprunt.
Plaisir coupable de découper dans des livres anciens.
Le mélange improbable de sources que tout oppose :
Judith décapitant Holopherne par Johann Liss, 1628
F-111 (détail) par James Rosenquist, 1964–65
Nature morte au bouquet de fleurs par Jan Davidsz de Heem , 1665
Masked Rider Western, 1948
Merci à eux pour l’histoire qu’ils me donnent à raconter.
Les gardiens de la galaxie tel que raconté dans l'Ancien Testament…
Le collage commence par un emprunt.
Plaisir coupable de découper dans des livres anciens.
Le mélange improbable de sources que tout oppose :
Judith décapitant Holopherne par Johann Liss, 1628
F-111 (détail) par James Rosenquist, 1964–65
Nature morte au bouquet de fleurs par Jan Davidsz de Heem , 1665
Masked Rider Western, 1948
Merci à eux pour l’histoire qu’ils me donnent à raconter.
Les gardiens de la galaxie tel que raconté dans l'Ancien Testament…
Le collage commence par un emprunt.
Plaisir coupable de découper dans des livres anciens.
Le mélange improbable de sources que tout oppose :
Judith décapitant Holopherne par Johann Liss, 1628
F-111 (détail) par James Rosenquist, 1964–65
Nature morte au bouquet de fleurs par Jan Davidsz de Heem , 1665
Masked Rider Western, 1948
Merci à eux pour l’histoire qu’ils me donnent à raconter.
Les gardiens de la galaxie tel que raconté dans l'Ancien Testament…
Mix entre le film « L’Homme invisible » et le roman d’Albert Camus. Le film réalisé par James Whale en 1933 est adapté du roman écrit par H. G. Wells en 1897. Le film fait partie de la série des Universal Monsters. L’étranger est le premier roman publié de Camus dont le message principal est que la société est souvent hostile à ce qu'elle considère comme 'étrange'.
La quête, la fuite, le parcours… Visage masqué, transparent. La peur qui unit.
Chez moi partout toujours en exil.
Mix entre le film « L’Homme invisible » et le roman d’Albert Camus. Le film réalisé par James Whale en 1933 est adapté du roman écrit par H. G. Wells en 1897. Le film fait partie de la série des Universal Monsters. L’étranger est le premier roman publié de Camus dont le message principal est que la société est souvent hostile à ce qu'elle considère comme 'étrange'.
La quête, la fuite, le parcours… Visage masqué, transparent. La peur qui unit.
Chez moi partout toujours en exil.
Mix entre le film « L’Homme invisible » et le roman d’Albert Camus. Le film réalisé par James Whale en 1933 est adapté du roman écrit par H. G. Wells en 1897. Le film fait partie de la série des Universal Monsters. L’étranger est le premier roman publié de Camus dont le message principal est que la société est souvent hostile à ce qu'elle considère comme 'étrange'.
La quête, la fuite, le parcours… Visage masqué, transparent. La peur qui unit.
Chez moi partout toujours en exil.
Mix entre le film « L’Homme invisible » et le roman d’Albert Camus. Le film réalisé par James Whale en 1933 est adapté du roman écrit par H. G. Wells en 1897. Le film fait partie de la série des Universal Monsters. L’étranger est le premier roman publié de Camus dont le message principal est que la société est souvent hostile à ce qu'elle considère comme 'étrange'.
La quête, la fuite, le parcours… Visage masqué, transparent. La peur qui unit.
Chez moi partout toujours en exil.
Mix entre le film « L’Homme invisible » et le roman d’Albert Camus. Le film réalisé par James Whale en 1933 est adapté du roman écrit par H. G. Wells en 1897. Le film fait partie de la série des Universal Monsters. L’étranger est le premier roman publié de Camus dont le message principal est que la société est souvent hostile à ce qu'elle considère comme 'étrange'.
La quête, la fuite, le parcours… Visage masqué, transparent. La peur qui unit.
Chez moi partout toujours en exil.
Tableau conçu comme un livre.
Je reprend un titre emblématique de la littérature que je réinterprète. Donner une dimension de volume, au sens propre (et figuré).
3 chassis superposés font apparaître les tranches d'autres titres.
Attention aux coquilles !
Tableau conçu comme un livre.
Je reprend un titre emblématique de la littérature que je réinterprète. Donner une dimension de volume, au sens propre (et figuré).
3 chassis superposés font apparaître les tranches d'autres titres.
Attention aux coquilles !
Tableau conçu comme un livre.
Je reprend un titre emblématique de la littérature que je réinterprète. Donner une dimension de volume, au sens propre (et figuré).
3 chassis superposés font apparaître les tranches d'autres titres.
Attention aux coquilles !
Librement inspiré de l’histoire de la Corriveau. Comme c'est le portrait d'une personne dont on ne connaît pas le visage, je devais me baser sur des impressions, un ressenti, une expression. Il me fallait trouver une "actrice" pour le rôle. En l'occurrence Michèle Lalonde auteure du poème Speak White et l'actrice Hedy Lamar par ailleurs inventrice du wifi, m'ont servis de modèle. Des femmes au parcours hors du commun. Avec des regards, pénétrant, intriguant, troublant, dont la lecture n'est pas claire.
La Cage est arrivé comme une évidence pour le titre. Avec une connotation plutôt négative, elle est souvent reprise comme symbole ou comme métaphore pour désigner l'emprisonnement ou simplement les limites de la vie. Un frein vers la liberté. Imposé ou pas. Cette cage peut être physique, psychologique, affective... Ou peut-être représente-elle les limites à respecter...
La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres.
Cette expression est à la fois un précepte et un proverbe : il apprend à restreindre ses libertés en communauté, mais il est aussi utilisé pour mettre en garde contre tout abus de pouvoir.
Librement inspiré de l’histoire de la Corriveau. Comme c'est le portrait d'une personne dont on ne connaît pas le visage, je devais me baser sur des impressions, un ressenti, une expression. Il me fallait trouver une "actrice" pour le rôle. En l'occurrence Michèle Lalonde auteure du poème Speak White et l'actrice Hedy Lamar par ailleurs inventrice du wifi, m'ont servis de modèle. Des femmes au parcours hors du commun. Avec des regards, pénétrant, intriguant, troublant, dont la lecture n'est pas claire.
La Cage est arrivé comme une évidence pour le titre. Avec une connotation plutôt négative, elle est souvent reprise comme symbole ou comme métaphore pour désigner l'emprisonnement ou simplement les limites de la vie. Un frein vers la liberté. Imposé ou pas. Cette cage peut être physique, psychologique, affective... Ou peut-être représente-elle les limites à respecter...
La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres.
Cette expression est à la fois un précepte et un proverbe : il apprend à restreindre ses libertés en communauté, mais il est aussi utilisé pour mettre en garde contre tout abus de pouvoir.
Librement inspiré de l’histoire de la Corriveau. Comme c'est le portrait d'une personne dont on ne connaît pas le visage, je devais me baser sur des impressions, un ressenti, une expression. Il me fallait trouver une "actrice" pour le rôle. En l'occurrence Michèle Lalonde auteure du poème Speak White et l'actrice Hedy Lamar par ailleurs inventrice du wifi, m'ont servis de modèle. Des femmes au parcours hors du commun. Avec des regards, pénétrant, intriguant, troublant, dont la lecture n'est pas claire.
La Cage est arrivé comme une évidence pour le titre. Avec une connotation plutôt négative, elle est souvent reprise comme symbole ou comme métaphore pour désigner l'emprisonnement ou simplement les limites de la vie. Un frein vers la liberté. Imposé ou pas. Cette cage peut être physique, psychologique, affective... Ou peut-être représente-elle les limites à respecter...
La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres.
Cette expression est à la fois un précepte et un proverbe : il apprend à restreindre ses libertés en communauté, mais il est aussi utilisé pour mettre en garde contre tout abus de pouvoir.
Librement inspiré de l’histoire de la Corriveau. Comme c'est le portrait d'une personne dont on ne connaît pas le visage, je devais me baser sur des impressions, un ressenti, une expression. Il me fallait trouver une "actrice" pour le rôle. En l'occurrence Michèle Lalonde auteure du poème Speak White et l'actrice Hedy Lamar par ailleurs inventrice du wifi, m'ont servis de modèle. Des femmes au parcours hors du commun. Avec des regards, pénétrant, intriguant, troublant, dont la lecture n'est pas claire.
La Cage est arrivé comme une évidence pour le titre. Avec une connotation plutôt négative, elle est souvent reprise comme symbole ou comme métaphore pour désigner l'emprisonnement ou simplement les limites de la vie. Un frein vers la liberté. Imposé ou pas. Cette cage peut être physique, psychologique, affective... Ou peut-être représente-elle les limites à respecter...
La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres.
Cette expression est à la fois un précepte et un proverbe : il apprend à restreindre ses libertés en communauté, mais il est aussi utilisé pour mettre en garde contre tout abus de pouvoir.
Librement inspiré de l’histoire de la Corriveau. Comme c'est le portrait d'une personne dont on ne connaît pas le visage, je devais me baser sur des impressions, un ressenti, une expression. Il me fallait trouver une "actrice" pour le rôle. En l'occurrence Michèle Lalonde auteure du poème Speak White et l'actrice Hedy Lamar par ailleurs inventrice du wifi, m'ont servis de modèle. Des femmes au parcours hors du commun. Avec des regards, pénétrant, intriguant, troublant, dont la lecture n'est pas claire.
La Cage est arrivé comme une évidence pour le titre. Avec une connotation plutôt négative, elle est souvent reprise comme symbole ou comme métaphore pour désigner l'emprisonnement ou simplement les limites de la vie. Un frein vers la liberté. Imposé ou pas. Cette cage peut être physique, psychologique, affective... Ou peut-être représente-elle les limites à respecter...
La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres.
Cette expression est à la fois un précepte et un proverbe : il apprend à restreindre ses libertés en communauté, mais il est aussi utilisé pour mettre en garde contre tout abus de pouvoir.
Ca parle d'amour, de peine, d'identité, de nature, de chaos, d’apaisement, de mort, de vie... et de plein d’autre choses que je n'ai pas encore cernées…
Au Canada, la légende de la Dame blanche est associée à la chute Montmorency près de la ville de Québec.
Elle tire son origine d’un événement historique de la région et du pays.
Au cours de l’été de 1759, les troupes britanniques, commandées par le général James Wolfe, assiégeaient Québec.
Malgré ces événements dramatiques, Mathilde et Louis, profondément amoureux, projetaient de se marier sous peu. Mais, le 31 juillet 1759, les assiégeants lancent une attaque à Beauport, aux pieds de la chute Montmorency. Par malheur, Louis, qui fait partie de la milice, est tué au cours de ce qui sera appelé «bataille de Beauport» ou «bataille de Montmorency». Inconsolable, Mathilde revêt sa robe de mariée et se jette du haut de la chute.
Depuis, certains affirment distinguer, parfois, les nuits de pleine lune, une forme blanche se profiler dans l’écume de la chute.
Le lien entre la Dame Blanche et la chanson de Joy Division m'a semblé pertinent. Je m'en inspire pour compléter le titre et ne pas enfermer le tableau dans la seule légende.
Ayant grandi non loin des chutes, le lieu et son histoire me parle directement. Un retour aux sources par procuration. On voit différemment avec la distance et le recul.
Ca parle d'amour, de peine, d'identité, de nature, de chaos, d’apaisement, de mort, de vie... et de plein d’autre choses que je n'ai pas encore cernées…
Au Canada, la légende de la Dame blanche est associée à la chute Montmorency près de la ville de Québec.
Elle tire son origine d’un événement historique de la région et du pays.
Au cours de l’été de 1759, les troupes britanniques, commandées par le général James Wolfe, assiégeaient Québec.
Malgré ces événements dramatiques, Mathilde et Louis, profondément amoureux, projetaient de se marier sous peu. Mais, le 31 juillet 1759, les assiégeants lancent une attaque à Beauport, aux pieds de la chute Montmorency. Par malheur, Louis, qui fait partie de la milice, est tué au cours de ce qui sera appelé «bataille de Beauport» ou «bataille de Montmorency». Inconsolable, Mathilde revêt sa robe de mariée et se jette du haut de la chute.
Depuis, certains affirment distinguer, parfois, les nuits de pleine lune, une forme blanche se profiler dans l’écume de la chute.
Le lien entre la Dame Blanche et la chanson de Joy Division m'a semblé pertinent. Je m'en inspire pour compléter le titre et ne pas enfermer le tableau dans la seule légende.
Ayant grandi non loin des chutes, le lieu et son histoire me parle directement. Un retour aux sources par procuration. On voit différemment avec la distance et le recul.
Ca parle d'amour, de peine, d'identité, de nature, de chaos, d’apaisement, de mort, de vie... et de plein d’autre choses que je n'ai pas encore cernées…
Au Canada, la légende de la Dame blanche est associée à la chute Montmorency près de la ville de Québec.
Elle tire son origine d’un événement historique de la région et du pays.
Au cours de l’été de 1759, les troupes britanniques, commandées par le général James Wolfe, assiégeaient Québec.
Malgré ces événements dramatiques, Mathilde et Louis, profondément amoureux, projetaient de se marier sous peu. Mais, le 31 juillet 1759, les assiégeants lancent une attaque à Beauport, aux pieds de la chute Montmorency. Par malheur, Louis, qui fait partie de la milice, est tué au cours de ce qui sera appelé «bataille de Beauport» ou «bataille de Montmorency». Inconsolable, Mathilde revêt sa robe de mariée et se jette du haut de la chute.
Depuis, certains affirment distinguer, parfois, les nuits de pleine lune, une forme blanche se profiler dans l’écume de la chute.
Le lien entre la Dame Blanche et la chanson de Joy Division m'a semblé pertinent. Je m'en inspire pour compléter le titre et ne pas enfermer le tableau dans la seule légende.
Ayant grandi non loin des chutes, le lieu et son histoire me parle directement. Un retour aux sources par procuration. On voit différemment avec la distance et le recul.
Ca parle d'amour, de peine, d'identité, de nature, de chaos, d’apaisement, de mort, de vie... et de plein d’autre choses que je n'ai pas encore cernées…
Au Canada, la légende de la Dame blanche est associée à la chute Montmorency près de la ville de Québec.
Elle tire son origine d’un événement historique de la région et du pays.
Au cours de l’été de 1759, les troupes britanniques, commandées par le général James Wolfe, assiégeaient Québec.
Malgré ces événements dramatiques, Mathilde et Louis, profondément amoureux, projetaient de se marier sous peu. Mais, le 31 juillet 1759, les assiégeants lancent une attaque à Beauport, aux pieds de la chute Montmorency. Par malheur, Louis, qui fait partie de la milice, est tué au cours de ce qui sera appelé «bataille de Beauport» ou «bataille de Montmorency». Inconsolable, Mathilde revêt sa robe de mariée et se jette du haut de la chute.
Depuis, certains affirment distinguer, parfois, les nuits de pleine lune, une forme blanche se profiler dans l’écume de la chute.
Le lien entre la Dame Blanche et la chanson de Joy Division m'a semblé pertinent. Je m'en inspire pour compléter le titre et ne pas enfermer le tableau dans la seule légende.
Ayant grandi non loin des chutes, le lieu et son histoire me parle directement. Un retour aux sources par procuration. On voit différemment avec la distance et le recul.
Ca parle d'amour, de peine, d'identité, de nature, de chaos, d’apaisement, de mort, de vie... et de plein d’autre choses que je n'ai pas encore cernées…
Au Canada, la légende de la Dame blanche est associée à la chute Montmorency près de la ville de Québec.
Elle tire son origine d’un événement historique de la région et du pays.
Au cours de l’été de 1759, les troupes britanniques, commandées par le général James Wolfe, assiégeaient Québec.
Malgré ces événements dramatiques, Mathilde et Louis, profondément amoureux, projetaient de se marier sous peu. Mais, le 31 juillet 1759, les assiégeants lancent une attaque à Beauport, aux pieds de la chute Montmorency. Par malheur, Louis, qui fait partie de la milice, est tué au cours de ce qui sera appelé «bataille de Beauport» ou «bataille de Montmorency». Inconsolable, Mathilde revêt sa robe de mariée et se jette du haut de la chute.
Depuis, certains affirment distinguer, parfois, les nuits de pleine lune, une forme blanche se profiler dans l’écume de la chute.
Le lien entre la Dame Blanche et la chanson de Joy Division m'a semblé pertinent. Je m'en inspire pour compléter le titre et ne pas enfermer le tableau dans la seule légende.
Ayant grandi non loin des chutes, le lieu et son histoire me parle directement. Un retour aux sources par procuration. On voit différemment avec la distance et le recul.
La Fosse
sérigraphie manuelle
12 couleurs
70x50 cm
papier Fedrigoni 300gr
tirage limité 17 ex. / numéroté-signé
Plongée en eaux profondes
Apesanteur entre deux mondes
Frénésie d’atomes
Accélérateur de particules
Perte de repère
Où est le fond où est la surface
Espace sans début ni fin
Cosmos infini
Abysses insondables
…
Poisson-chirurgien zébré survolé par un groupe de requins-marteaux au clair de lune.
Tout simplement.
Peut-être la sérigraphie la plus complexe à réaliser pour moi jusqu’à date avec des dégradés envoûtants et imprévisibles.
Merci à Alex et Marine, figures de proue et sirènes de l’atelier Unique en série
Inspiré par Henri Breuil 1877 - 1961, connu sous le nom de "l'abbé Breuil", prêtre catholique et préhistorien français.
Surnommé le "pape de la Préhistoire", il est l’un des principaux artisans du débat sur la reconnaissance de l’art pariétal et va faire de l’étude des grottes ornées un des thèmes majeurs de l’archéologie préhistorique du XXe siècle.
L'art préhistorique, ou art pariétal, désigne l'ensemble des œuvres d'art au sens large (sans appréciation esthétique) réalisées par l'Homme sur des parois de grottes et abris sous roche.
J'aime à croire que l'Homme préhistorique a des préoccupations artistiques et manifeste un pur plaisir
de dessiner et de peindre.
Inspiré par Henri Breuil 1877 - 1961, connu sous le nom de "l'abbé Breuil", prêtre catholique et préhistorien français.
Surnommé le "pape de la Préhistoire", il est l’un des principaux artisans du débat sur la reconnaissance de l’art pariétal et va faire de l’étude des grottes ornées un des thèmes majeurs de l’archéologie préhistorique du XXe siècle.
L'art préhistorique, ou art pariétal, désigne l'ensemble des œuvres d'art au sens large (sans appréciation esthétique) réalisées par l'Homme sur des parois de grottes et abris sous roche.
J'aime à croire que l'Homme préhistorique a des préoccupations artistiques et manifeste un pur plaisir
de dessiner et de peindre.
Inspiré par Henri Breuil 1877 - 1961, connu sous le nom de "l'abbé Breuil", prêtre catholique et préhistorien français.
Surnommé le "pape de la Préhistoire", il est l’un des principaux artisans du débat sur la reconnaissance de l’art pariétal et va faire de l’étude des grottes ornées un des thèmes majeurs de l’archéologie préhistorique du XXe siècle.
L'art préhistorique, ou art pariétal, désigne l'ensemble des œuvres d'art au sens large (sans appréciation esthétique) réalisées par l'Homme sur des parois de grottes et abris sous roche.
J'aime à croire que l'Homme préhistorique a des préoccupations artistiques et manifeste un pur plaisir
de dessiner et de peindre.
A l'origine de ce tableau, la commande d'un couple d'amis de Québec que je remercie au passage pour leur confiance. Comme seule directive, mettre en scène leur 4 animaux de compagnie dont 3 aujourd'hui décédés : 1 chat, 2 bassets, 1 oiseau… Le hasard n'existe pas ; au moment où je m'interroge à savoir si la toile est terminée ou pas, je remarque que les animaux disparus nous regardent, tandis que celui toujours présent, de profil, regarde devant lui, au loin. Habité par le passé, tourné vers l'avenir... Un tableau n'est jamais fini ; l'artiste arrête simplement sa croissance, un peu comme un bonsaï.
A l'origine de ce tableau, la commande d'un couple d'amis de Québec que je remercie au passage pour leur confiance. Comme seule directive, mettre en scène leur 4 animaux de compagnie dont 3 aujourd'hui décédés : 1 chat, 2 bassets, 1 oiseau… Le hasard n'existe pas ; au moment où je m'interroge à savoir si la toile est terminée ou pas, je remarque que les animaux disparus nous regardent, tandis que celui toujours présent, de profil, regarde devant lui, au loin. Habité par le passé, tourné vers l'avenir... Un tableau n'est jamais fini ; l'artiste arrête simplement sa croissance, un peu comme un bonsaï.
A l'origine de ce tableau, la commande d'un couple d'amis de Québec que je remercie au passage pour leur confiance. Comme seule directive, mettre en scène leur 4 animaux de compagnie dont 3 aujourd'hui décédés : 1 chat, 2 bassets, 1 oiseau… Le hasard n'existe pas ; au moment où je m'interroge à savoir si la toile est terminée ou pas, je remarque que les animaux disparus nous regardent, tandis que celui toujours présent, de profil, regarde devant lui, au loin. Habité par le passé, tourné vers l'avenir... Un tableau n'est jamais fini ; l'artiste arrête simplement sa croissance, un peu comme un bonsaï.
A l'origine de ce tableau, la commande d'un couple d'amis de Québec que je remercie au passage pour leur confiance. Comme seule directive, mettre en scène leur 4 animaux de compagnie dont 3 aujourd'hui décédés : 1 chat, 2 bassets, 1 oiseau… Le hasard n'existe pas ; au moment où je m'interroge à savoir si la toile est terminée ou pas, je remarque que les animaux disparus nous regardent, tandis que celui toujours présent, de profil, regarde devant lui, au loin. Habité par le passé, tourné vers l'avenir... Un tableau n'est jamais fini ; l'artiste arrête simplement sa croissance, un peu comme un bonsaï.
Les gens du voyage comme idée de départ. L'esprit nomade, les déplacements, contraints ou libres... La migration. Laissez(r)-Passer est arrivé naturellement comme titre à mi-parcours. L'ambiguité grammaticale sur le mot est significative : on écrit laisser-aller, laisser-faire et laisser-courrir (noms masculins invariables) avec un r, mais laissez-passer prend un z à laissez, c’est le seul. Passer prend bien un r quant à lui, donc un seul z au total dans ce mot composé. Un laissez-passer désigne un permis de circuler, une autorisation de passer là où tout le monde n’a pas le droit, sur un territoire déterminé, et délivré par une autorité.
De par le choix du z ou du r, l'action n'est pas la même : le Z implique, le R décrit. Aventurier, explorateur, voyageur, réfugié, tous ont en commun la démarche de partir. Pour fuir, pour rejoindre, pour découvrir... Par amour, par envie, par crainte, par curiosité... Les motivations sont multiples. Les directions s'entre-croisent. Partir est au cœur de notre évolution. Aller-retour.
"Chez moi partout, toujours en exil "_ proverbe bédouin.
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 60 x 60 cm
Les gens du voyage comme idée de départ. L'esprit nomade, les déplacements, contraints ou libres... La migration. Laissez(r)-Passer est arrivé naturellement comme titre à mi-parcours. L'ambiguité grammaticale sur le mot est significative : on écrit laisser-aller, laisser-faire et laisser-courrir (noms masculins invariables) avec un r, mais laissez-passer prend un z à laissez, c’est le seul. Passer prend bien un r quant à lui, donc un seul z au total dans ce mot composé. Un laissez-passer désigne un permis de circuler, une autorisation de passer là où tout le monde n’a pas le droit, sur un territoire déterminé, et délivré par une autorité.
De par le choix du z ou du r, l'action n'est pas la même : le Z implique, le R décrit. Aventurier, explorateur, voyageur, réfugié, tous ont en commun la démarche de partir. Pour fuir, pour rejoindre, pour découvrir... Par amour, par envie, par crainte, par curiosité... Les motivations sont multiples. Les directions s'entre-croisent. Partir est au cœur de notre évolution. Aller-retour.
"Chez moi partout, toujours en exil "_ proverbe bédouin.
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 60 x 60 cm
Les gens du voyage comme idée de départ. L'esprit nomade, les déplacements, contraints ou libres... La migration. Laissez(r)-Passer est arrivé naturellement comme titre à mi-parcours. L'ambiguité grammaticale sur le mot est significative : on écrit laisser-aller, laisser-faire et laisser-courrir (noms masculins invariables) avec un r, mais laissez-passer prend un z à laissez, c’est le seul. Passer prend bien un r quant à lui, donc un seul z au total dans ce mot composé. Un laissez-passer désigne un permis de circuler, une autorisation de passer là où tout le monde n’a pas le droit, sur un territoire déterminé, et délivré par une autorité.
De par le choix du z ou du r, l'action n'est pas la même : le Z implique, le R décrit. Aventurier, explorateur, voyageur, réfugié, tous ont en commun la démarche de partir. Pour fuir, pour rejoindre, pour découvrir... Par amour, par envie, par crainte, par curiosité... Les motivations sont multiples. Les directions s'entre-croisent. Partir est au cœur de notre évolution. Aller-retour.
"Chez moi partout, toujours en exil "_ proverbe bédouin.
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 60 x 60 cm
Les gens du voyage comme idée de départ. L'esprit nomade, les déplacements, contraints ou libres... La migration. Laissez(r)-Passer est arrivé naturellement comme titre à mi-parcours. L'ambiguité grammaticale sur le mot est significative : on écrit laisser-aller, laisser-faire et laisser-courrir (noms masculins invariables) avec un r, mais laissez-passer prend un z à laissez, c’est le seul. Passer prend bien un r quant à lui, donc un seul z au total dans ce mot composé. Un laissez-passer désigne un permis de circuler, une autorisation de passer là où tout le monde n’a pas le droit, sur un territoire déterminé, et délivré par une autorité.
De par le choix du z ou du r, l'action n'est pas la même : le Z implique, le R décrit. Aventurier, explorateur, voyageur, réfugié, tous ont en commun la démarche de partir. Pour fuir, pour rejoindre, pour découvrir... Par amour, par envie, par crainte, par curiosité... Les motivations sont multiples. Les directions s'entre-croisent. Partir est au cœur de notre évolution. Aller-retour.
"Chez moi partout, toujours en exil "_ proverbe bédouin.
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 60 x 60 cm
Les gens du voyage comme idée de départ. L'esprit nomade, les déplacements, contraints ou libres... La migration. Laissez(r)-Passer est arrivé naturellement comme titre à mi-parcours. L'ambiguité grammaticale sur le mot est significative : on écrit laisser-aller, laisser-faire et laisser-courrir (noms masculins invariables) avec un r, mais laissez-passer prend un z à laissez, c’est le seul. Passer prend bien un r quant à lui, donc un seul z au total dans ce mot composé. Un laissez-passer désigne un permis de circuler, une autorisation de passer là où tout le monde n’a pas le droit, sur un territoire déterminé, et délivré par une autorité.
De par le choix du z ou du r, l'action n'est pas la même : le Z implique, le R décrit. Aventurier, explorateur, voyageur, réfugié, tous ont en commun la démarche de partir. Pour fuir, pour rejoindre, pour découvrir... Par amour, par envie, par crainte, par curiosité... Les motivations sont multiples. Les directions s'entre-croisent. Partir est au cœur de notre évolution. Aller-retour.
"Chez moi partout, toujours en exil "_ proverbe bédouin.
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 60 x 60 cm
Le masque, destiné à dissimuler, représenter ou imiter un visage, assure de nombreuses fonctions, variables selon les lieux et l'époque. Simple divertissement ou associé à un rite, œuvre d'art ou produit normalisé, il se retrouve sur tous les continents. Il est tantôt associé à des festivités (Halloween, Mardi gras), tantôt à une fonction (chamanisme, relique funéraire). wikipedia
Certains papiers collés sur ce tableau ont plus de 100 ans. Imprégnés de leur propre charge émotionnelle, j'aime à croire qu'ils ont une forme de pouvoir mystique...
Le masque, destiné à dissimuler, représenter ou imiter un visage, assure de nombreuses fonctions, variables selon les lieux et l'époque. Simple divertissement ou associé à un rite, œuvre d'art ou produit normalisé, il se retrouve sur tous les continents. Il est tantôt associé à des festivités (Halloween, Mardi gras), tantôt à une fonction (chamanisme, relique funéraire). wikipedia
Certains papiers collés sur ce tableau ont plus de 100 ans. Imprégnés de leur propre charge émotionnelle, j'aime à croire qu'ils ont une forme de pouvoir mystique...
A l'origine de ce tableau, une photo issue du livre "Paysage et nature en Amérique du nord" - collection Time-Life, Le monde vivant , 1964. Cette photo montre un coyote pris dans un piège de trappeur. Son regard, son expression reflète la peur, voir l'agressivité envers ce qui pourrait être une main tendue pour le libérer. Ce qui m'a interpellé c'est cette ambiguité, ce mélange de méfiance et d'appel à l'aide. Agressivité ou détresse... Réflexe naturel face à l'inconnu.
Je travaille souvent en musique. Pendant l'élaboration de cette toile, la radio enchaîne avec le célèbre morceau de Félix Leclerc "Le P'tit Bonheur". Pour tous les québécois, cette chanson fait partie du patrimoine. Tout le monde la connait sans jamais avoir prêté attention aux paroles. Suite à cette écoute inattendue et attentive, j'ai noté des parallèles avec l'image de mon coyote. Le décalage entre l'image et le titre m'a plu. J'y voyais une allégorie sur l'amitié. Celle qui arrive après la méfiance. L'idée aussi qu'on ne possède pas cette amitié, elle est libre d'aller et venir, de partir... Comme le bonheur qui survient sans qu'on l'attende et qui peut lui aussi repartir aussi vite. Tout comme l'animal sauvage, libre.
A partir de cette peinture, une série de planches fut éditée pour la marque Diligent skateboard. La série est maintenant épuisée.
A l'origine de ce tableau, une photo issue du livre "Paysage et nature en Amérique du nord" - collection Time-Life, Le monde vivant , 1964. Cette photo montre un coyote pris dans un piège de trappeur. Son regard, son expression reflète la peur, voir l'agressivité envers ce qui pourrait être une main tendue pour le libérer. Ce qui m'a interpellé c'est cette ambiguité, ce mélange de méfiance et d'appel à l'aide. Agressivité ou détresse... Réflexe naturel face à l'inconnu.
Je travaille souvent en musique. Pendant l'élaboration de cette toile, la radio enchaîne avec le célèbre morceau de Félix Leclerc "Le P'tit Bonheur". Pour tous les québécois, cette chanson fait partie du patrimoine. Tout le monde la connait sans jamais avoir prêté attention aux paroles. Suite à cette écoute inattendue et attentive, j'ai noté des parallèles avec l'image de mon coyote. Le décalage entre l'image et le titre m'a plu. J'y voyais une allégorie sur l'amitié. Celle qui arrive après la méfiance. L'idée aussi qu'on ne possède pas cette amitié, elle est libre d'aller et venir, de partir... Comme le bonheur qui survient sans qu'on l'attende et qui peut lui aussi repartir aussi vite. Tout comme l'animal sauvage, libre.
A partir de cette peinture, une série de planches fut éditée pour la marque Diligent skateboard. La série est maintenant épuisée.
A l'origine de ce tableau, une photo issue du livre "Paysage et nature en Amérique du nord" - collection Time-Life, Le monde vivant , 1964. Cette photo montre un coyote pris dans un piège de trappeur. Son regard, son expression reflète la peur, voir l'agressivité envers ce qui pourrait être une main tendue pour le libérer. Ce qui m'a interpellé c'est cette ambiguité, ce mélange de méfiance et d'appel à l'aide. Agressivité ou détresse... Réflexe naturel face à l'inconnu.
Je travaille souvent en musique. Pendant l'élaboration de cette toile, la radio enchaîne avec le célèbre morceau de Félix Leclerc "Le P'tit Bonheur". Pour tous les québécois, cette chanson fait partie du patrimoine. Tout le monde la connait sans jamais avoir prêté attention aux paroles. Suite à cette écoute inattendue et attentive, j'ai noté des parallèles avec l'image de mon coyote. Le décalage entre l'image et le titre m'a plu. J'y voyais une allégorie sur l'amitié. Celle qui arrive après la méfiance. L'idée aussi qu'on ne possède pas cette amitié, elle est libre d'aller et venir, de partir... Comme le bonheur qui survient sans qu'on l'attende et qui peut lui aussi repartir aussi vite. Tout comme l'animal sauvage, libre.
A partir de cette peinture, une série de planches fut éditée pour la marque Diligent skateboard. La série est maintenant épuisée.
A l'origine de ce tableau, une photo issue du livre "Paysage et nature en Amérique du nord" - collection Time-Life, Le monde vivant , 1964. Cette photo montre un coyote pris dans un piège de trappeur. Son regard, son expression reflète la peur, voir l'agressivité envers ce qui pourrait être une main tendue pour le libérer. Ce qui m'a interpellé c'est cette ambiguité, ce mélange de méfiance et d'appel à l'aide. Agressivité ou détresse... Réflexe naturel face à l'inconnu.
Je travaille souvent en musique. Pendant l'élaboration de cette toile, la radio enchaîne avec le célèbre morceau de Félix Leclerc "Le P'tit Bonheur". Pour tous les québécois, cette chanson fait partie du patrimoine. Tout le monde la connait sans jamais avoir prêté attention aux paroles. Suite à cette écoute inattendue et attentive, j'ai noté des parallèles avec l'image de mon coyote. Le décalage entre l'image et le titre m'a plu. J'y voyais une allégorie sur l'amitié. Celle qui arrive après la méfiance. L'idée aussi qu'on ne possède pas cette amitié, elle est libre d'aller et venir, de partir... Comme le bonheur qui survient sans qu'on l'attende et qui peut lui aussi repartir aussi vite. Tout comme l'animal sauvage, libre.
A partir de cette peinture, une série de planches fut éditée pour la marque Diligent skateboard. La série est maintenant épuisée.
La fuite est forcément une quête de liberté. La fougue du cheval sautant un obstacle. Performance, évasion, plaisir, fuite ? La femme, méditative, bienveillante, telle une figure de proue sur un navire, qui inspire, rassure et guide. Son regard apaisé tempère l'urgence. Une relation fusionnelle entre les deux.
Lignes d'horizon, lignes de fuite.
Comme plusieurs univers parallèles qui se juxtaposent, brouillant nos repères de perspective.
Le corps de l'animal, hybridation de féminité, d'astronomie, d’infini. Urgence tranquille.
"À cheval" entre les éléments.
Le titre est emprunté à Caravage. "Le Repos pendant la Fuite en Égypte" est un tableau que l'artiste a peint vers 1596-1597. La profondeur de ses compositions d'un dynamisme intense et paradoxalement étrangement figée. La palette de couleurs sombres comme la terre, sublime la luminosité voilée. Les rouges sont incandescents. Une inspiration que je ne soupçonnais pas.
La fuite est forcément une quête de liberté. La fougue du cheval sautant un obstacle. Performance, évasion, plaisir, fuite ? La femme, méditative, bienveillante, telle une figure de proue sur un navire, qui inspire, rassure et guide. Son regard apaisé tempère l'urgence. Une relation fusionnelle entre les deux.
Lignes d'horizon, lignes de fuite.
Comme plusieurs univers parallèles qui se juxtaposent, brouillant nos repères de perspective.
Le corps de l'animal, hybridation de féminité, d'astronomie, d’infini. Urgence tranquille.
"À cheval" entre les éléments.
Le titre est emprunté à Caravage. "Le Repos pendant la Fuite en Égypte" est un tableau que l'artiste a peint vers 1596-1597. La profondeur de ses compositions d'un dynamisme intense et paradoxalement étrangement figée. La palette de couleurs sombres comme la terre, sublime la luminosité voilée. Les rouges sont incandescents. Une inspiration que je ne soupçonnais pas.
La fuite est forcément une quête de liberté. La fougue du cheval sautant un obstacle. Performance, évasion, plaisir, fuite ? La femme, méditative, bienveillante, telle une figure de proue sur un navire, qui inspire, rassure et guide. Son regard apaisé tempère l'urgence. Une relation fusionnelle entre les deux.
Lignes d'horizon, lignes de fuite.
Comme plusieurs univers parallèles qui se juxtaposent, brouillant nos repères de perspective.
Le corps de l'animal, hybridation de féminité, d'astronomie, d’infini. Urgence tranquille.
"À cheval" entre les éléments.
Le titre est emprunté à Caravage. "Le Repos pendant la Fuite en Égypte" est un tableau que l'artiste a peint vers 1596-1597. La profondeur de ses compositions d'un dynamisme intense et paradoxalement étrangement figée. La palette de couleurs sombres comme la terre, sublime la luminosité voilée. Les rouges sont incandescents. Une inspiration que je ne soupçonnais pas.
La fuite est forcément une quête de liberté. La fougue du cheval sautant un obstacle. Performance, évasion, plaisir, fuite ? La femme, méditative, bienveillante, telle une figure de proue sur un navire, qui inspire, rassure et guide. Son regard apaisé tempère l'urgence. Une relation fusionnelle entre les deux.
Lignes d'horizon, lignes de fuite.
Comme plusieurs univers parallèles qui se juxtaposent, brouillant nos repères de perspective.
Le corps de l'animal, hybridation de féminité, d'astronomie, d’infini. Urgence tranquille.
"À cheval" entre les éléments.
Le titre est emprunté à Caravage. "Le Repos pendant la Fuite en Égypte" est un tableau que l'artiste a peint vers 1596-1597. La profondeur de ses compositions d'un dynamisme intense et paradoxalement étrangement figée. La palette de couleurs sombres comme la terre, sublime la luminosité voilée. Les rouges sont incandescents. Une inspiration que je ne soupçonnais pas.
...Chaque printemps, à la fonte des neiges, des milliers de troncs d’arbres, coupés pendant l’hiver, étaient jetés dans la rivière afin d’être transportés vers les usines. Gaffe et tourne-bille à la main, bottes cloutées aux pieds, les draveurs couraient les billes en perpétuel mouvement, s’assurant que les billots suivaient le cours de la rivière et qu’ils ne s’échouaient pas sur la grève. Lorsqu’il y avait un important amoncèlement de billots, les draveurs avaient recours à de la dynamite pour remédier à la situation. (source Radio-canada)
« …Il comprenait maintenant tout le sens de ces paroles. Vouloir d’abord se libérer, voilà quel était le commencement de la liberté. »
…extrait tiré du roman Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard. Publiée en 1937, il est considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la littérature québécoise. Les thèmes du roman sont principalement la vénération du terroir québécois et sa protection face aux étrangers qui menacent de développer la terre à des fins commerciales non stipulées. (wikipedia)
Je me suis aussi librement d’anciennes publicité de films pour les cinémas québécois. Notamment « Les Anges déchus » film franco-italien réalisé par Gianni Franciolini en 1953 et La Vengeance d’Hercule (Goliath et le dragon) péplum franco-italien réalisé par Vittorio Cottafavi en 1960. L’image de fond est issue du manuel de maintenance d’un moteur Mercury 20 forces de 1971 (pompe à eau du moteur). Le lien entre toutes ces images et références est peut-être nébuleux mais forcément personnel et ouvert à multiple interprétations.
...Chaque printemps, à la fonte des neiges, des milliers de troncs d’arbres, coupés pendant l’hiver, étaient jetés dans la rivière afin d’être transportés vers les usines. Gaffe et tourne-bille à la main, bottes cloutées aux pieds, les draveurs couraient les billes en perpétuel mouvement, s’assurant que les billots suivaient le cours de la rivière et qu’ils ne s’échouaient pas sur la grève. Lorsqu’il y avait un important amoncèlement de billots, les draveurs avaient recours à de la dynamite pour remédier à la situation. (source Radio-canada)
« …Il comprenait maintenant tout le sens de ces paroles. Vouloir d’abord se libérer, voilà quel était le commencement de la liberté. »
…extrait tiré du roman Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard. Publiée en 1937, il est considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la littérature québécoise. Les thèmes du roman sont principalement la vénération du terroir québécois et sa protection face aux étrangers qui menacent de développer la terre à des fins commerciales non stipulées. (wikipedia)
Je me suis aussi librement d’anciennes publicité de films pour les cinémas québécois. Notamment « Les Anges déchus » film franco-italien réalisé par Gianni Franciolini en 1953 et La Vengeance d’Hercule (Goliath et le dragon) péplum franco-italien réalisé par Vittorio Cottafavi en 1960. L’image de fond est issue du manuel de maintenance d’un moteur Mercury 20 forces de 1971 (pompe à eau du moteur). Le lien entre toutes ces images et références est peut-être nébuleux mais forcément personnel et ouvert à multiple interprétations.
...Chaque printemps, à la fonte des neiges, des milliers de troncs d’arbres, coupés pendant l’hiver, étaient jetés dans la rivière afin d’être transportés vers les usines. Gaffe et tourne-bille à la main, bottes cloutées aux pieds, les draveurs couraient les billes en perpétuel mouvement, s’assurant que les billots suivaient le cours de la rivière et qu’ils ne s’échouaient pas sur la grève. Lorsqu’il y avait un important amoncèlement de billots, les draveurs avaient recours à de la dynamite pour remédier à la situation. (source Radio-canada)
« …Il comprenait maintenant tout le sens de ces paroles. Vouloir d’abord se libérer, voilà quel était le commencement de la liberté. »
…extrait tiré du roman Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard. Publiée en 1937, il est considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la littérature québécoise. Les thèmes du roman sont principalement la vénération du terroir québécois et sa protection face aux étrangers qui menacent de développer la terre à des fins commerciales non stipulées. (wikipedia)
Je me suis aussi librement d’anciennes publicité de films pour les cinémas québécois. Notamment « Les Anges déchus » film franco-italien réalisé par Gianni Franciolini en 1953 et La Vengeance d’Hercule (Goliath et le dragon) péplum franco-italien réalisé par Vittorio Cottafavi en 1960. L’image de fond est issue du manuel de maintenance d’un moteur Mercury 20 forces de 1971 (pompe à eau du moteur). Le lien entre toutes ces images et références est peut-être nébuleux mais forcément personnel et ouvert à multiple interprétations.
...Chaque printemps, à la fonte des neiges, des milliers de troncs d’arbres, coupés pendant l’hiver, étaient jetés dans la rivière afin d’être transportés vers les usines. Gaffe et tourne-bille à la main, bottes cloutées aux pieds, les draveurs couraient les billes en perpétuel mouvement, s’assurant que les billots suivaient le cours de la rivière et qu’ils ne s’échouaient pas sur la grève. Lorsqu’il y avait un important amoncèlement de billots, les draveurs avaient recours à de la dynamite pour remédier à la situation. (source Radio-canada)
« …Il comprenait maintenant tout le sens de ces paroles. Vouloir d’abord se libérer, voilà quel était le commencement de la liberté. »
…extrait tiré du roman Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard. Publiée en 1937, il est considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la littérature québécoise. Les thèmes du roman sont principalement la vénération du terroir québécois et sa protection face aux étrangers qui menacent de développer la terre à des fins commerciales non stipulées. (wikipedia)
Je me suis aussi librement d’anciennes publicité de films pour les cinémas québécois. Notamment « Les Anges déchus » film franco-italien réalisé par Gianni Franciolini en 1953 et La Vengeance d’Hercule (Goliath et le dragon) péplum franco-italien réalisé par Vittorio Cottafavi en 1960. L’image de fond est issue du manuel de maintenance d’un moteur Mercury 20 forces de 1971 (pompe à eau du moteur). Le lien entre toutes ces images et références est peut-être nébuleux mais forcément personnel et ouvert à multiple interprétations.
L'élaboration de cette toile s'est déroulée entre mai et septembre 2018. Un peu à la manière d'un cinéaste qui se voit confier la tâche de revisiter un classique. En l'occurence "La Chasse Galerie" publiée en 1891 par Honoré Beaugrand avec des illustrations d'Henri Julien. Cette histoire et sa représentation visuelle est ancrée dans l'imaginaire québecois. On peut y percevoir nombre de sous-entendus... Les contes et légendes s'y prêtent bien. Ce fut l'occasion pour moi de plonger dans mon patrimoine. Sachant qu'il est multiple et métissé. Au-delà de l'histoire originelle, l'image de ces "bras cassés" m'émeut. Ces hommes se retrouvant dans une situation hasardeuse qui leur échappe, empêtrés dans le courant qui les emportent. Vers leur perte ? Leur salut ? Ou tout simplement vers une envie de vivre pleinement malgré les risques... Pure folie épicurienne ou instinc de survie... Un mélange des deux. Sans folie l'homme est plus petit.
résumé... un groupe de bûcherons québécois de la Gatineau, le soir du Réveillon, prennent envie d'aller rendre visite à leurs blondes vivant cent lieues plus loin. Mais le seul moyen de faire ce chemin et de revenir à temps pour travailler le lendemain matin est de participer à la fameuse chasse-galerie. Les bûcherons font un pacte avec le diable : leur canot s'envole dans les airs et les transporte à toute allure, mais ils ne devront pas blasphémer durant la traversée, ni heurter le canot aux clochers d'une église, et être de retour avant six heures le lendemain matin. Dans le cas contraire ils perdraient leurs âmes. Pour s'assurer de respecter ces règles, les hommes se mettent d'accord pour ne plus boire une autre goutte d'alcool avant la fin de leur voyage.
Les péripéties et la fin de l'histoire varient suivant les versions. En général, les hommes parviennent à conserver leur âme.
_
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art. Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 70 x 100 cm
L'élaboration de cette toile s'est déroulée entre mai et septembre 2018. Un peu à la manière d'un cinéaste qui se voit confier la tâche de revisiter un classique. En l'occurence "La Chasse Galerie" publiée en 1891 par Honoré Beaugrand avec des illustrations d'Henri Julien. Cette histoire et sa représentation visuelle est ancrée dans l'imaginaire québecois. On peut y percevoir nombre de sous-entendus... Les contes et légendes s'y prêtent bien. Ce fut l'occasion pour moi de plonger dans mon patrimoine. Sachant qu'il est multiple et métissé. Au-delà de l'histoire originelle, l'image de ces "bras cassés" m'émeut. Ces hommes se retrouvant dans une situation hasardeuse qui leur échappe, empêtrés dans le courant qui les emportent. Vers leur perte ? Leur salut ? Ou tout simplement vers une envie de vivre pleinement malgré les risques... Pure folie épicurienne ou instinc de survie... Un mélange des deux. Sans folie l'homme est plus petit.
résumé... un groupe de bûcherons québécois de la Gatineau, le soir du Réveillon, prennent envie d'aller rendre visite à leurs blondes vivant cent lieues plus loin. Mais le seul moyen de faire ce chemin et de revenir à temps pour travailler le lendemain matin est de participer à la fameuse chasse-galerie. Les bûcherons font un pacte avec le diable : leur canot s'envole dans les airs et les transporte à toute allure, mais ils ne devront pas blasphémer durant la traversée, ni heurter le canot aux clochers d'une église, et être de retour avant six heures le lendemain matin. Dans le cas contraire ils perdraient leurs âmes. Pour s'assurer de respecter ces règles, les hommes se mettent d'accord pour ne plus boire une autre goutte d'alcool avant la fin de leur voyage.
Les péripéties et la fin de l'histoire varient suivant les versions. En général, les hommes parviennent à conserver leur âme.
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Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art. Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 70 x 100 cm
L'élaboration de cette toile s'est déroulée entre mai et septembre 2018. Un peu à la manière d'un cinéaste qui se voit confier la tâche de revisiter un classique. En l'occurence "La Chasse Galerie" publiée en 1891 par Honoré Beaugrand avec des illustrations d'Henri Julien. Cette histoire et sa représentation visuelle est ancrée dans l'imaginaire québecois. On peut y percevoir nombre de sous-entendus... Les contes et légendes s'y prêtent bien. Ce fut l'occasion pour moi de plonger dans mon patrimoine. Sachant qu'il est multiple et métissé. Au-delà de l'histoire originelle, l'image de ces "bras cassés" m'émeut. Ces hommes se retrouvant dans une situation hasardeuse qui leur échappe, empêtrés dans le courant qui les emportent. Vers leur perte ? Leur salut ? Ou tout simplement vers une envie de vivre pleinement malgré les risques... Pure folie épicurienne ou instinc de survie... Un mélange des deux. Sans folie l'homme est plus petit.
résumé... un groupe de bûcherons québécois de la Gatineau, le soir du Réveillon, prennent envie d'aller rendre visite à leurs blondes vivant cent lieues plus loin. Mais le seul moyen de faire ce chemin et de revenir à temps pour travailler le lendemain matin est de participer à la fameuse chasse-galerie. Les bûcherons font un pacte avec le diable : leur canot s'envole dans les airs et les transporte à toute allure, mais ils ne devront pas blasphémer durant la traversée, ni heurter le canot aux clochers d'une église, et être de retour avant six heures le lendemain matin. Dans le cas contraire ils perdraient leurs âmes. Pour s'assurer de respecter ces règles, les hommes se mettent d'accord pour ne plus boire une autre goutte d'alcool avant la fin de leur voyage.
Les péripéties et la fin de l'histoire varient suivant les versions. En général, les hommes parviennent à conserver leur âme.
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Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art. Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 70 x 100 cm
L'élaboration de cette toile s'est déroulée entre mai et septembre 2018. Un peu à la manière d'un cinéaste qui se voit confier la tâche de revisiter un classique. En l'occurence "La Chasse Galerie" publiée en 1891 par Honoré Beaugrand avec des illustrations d'Henri Julien. Cette histoire et sa représentation visuelle est ancrée dans l'imaginaire québecois. On peut y percevoir nombre de sous-entendus... Les contes et légendes s'y prêtent bien. Ce fut l'occasion pour moi de plonger dans mon patrimoine. Sachant qu'il est multiple et métissé. Au-delà de l'histoire originelle, l'image de ces "bras cassés" m'émeut. Ces hommes se retrouvant dans une situation hasardeuse qui leur échappe, empêtrés dans le courant qui les emportent. Vers leur perte ? Leur salut ? Ou tout simplement vers une envie de vivre pleinement malgré les risques... Pure folie épicurienne ou instinc de survie... Un mélange des deux. Sans folie l'homme est plus petit.
résumé... un groupe de bûcherons québécois de la Gatineau, le soir du Réveillon, prennent envie d'aller rendre visite à leurs blondes vivant cent lieues plus loin. Mais le seul moyen de faire ce chemin et de revenir à temps pour travailler le lendemain matin est de participer à la fameuse chasse-galerie. Les bûcherons font un pacte avec le diable : leur canot s'envole dans les airs et les transporte à toute allure, mais ils ne devront pas blasphémer durant la traversée, ni heurter le canot aux clochers d'une église, et être de retour avant six heures le lendemain matin. Dans le cas contraire ils perdraient leurs âmes. Pour s'assurer de respecter ces règles, les hommes se mettent d'accord pour ne plus boire une autre goutte d'alcool avant la fin de leur voyage.
Les péripéties et la fin de l'histoire varient suivant les versions. En général, les hommes parviennent à conserver leur âme.
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Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art. Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 70 x 100 cm
L'élaboration de cette toile s'est déroulée entre mai et septembre 2018. Un peu à la manière d'un cinéaste qui se voit confier la tâche de revisiter un classique. En l'occurence "La Chasse Galerie" publiée en 1891 par Honoré Beaugrand avec des illustrations d'Henri Julien. Cette histoire et sa représentation visuelle est ancrée dans l'imaginaire québecois. On peut y percevoir nombre de sous-entendus... Les contes et légendes s'y prêtent bien. Ce fut l'occasion pour moi de plonger dans mon patrimoine. Sachant qu'il est multiple et métissé. Au-delà de l'histoire originelle, l'image de ces "bras cassés" m'émeut. Ces hommes se retrouvant dans une situation hasardeuse qui leur échappe, empêtrés dans le courant qui les emportent. Vers leur perte ? Leur salut ? Ou tout simplement vers une envie de vivre pleinement malgré les risques... Pure folie épicurienne ou instinc de survie... Un mélange des deux. Sans folie l'homme est plus petit.
résumé... un groupe de bûcherons québécois de la Gatineau, le soir du Réveillon, prennent envie d'aller rendre visite à leurs blondes vivant cent lieues plus loin. Mais le seul moyen de faire ce chemin et de revenir à temps pour travailler le lendemain matin est de participer à la fameuse chasse-galerie. Les bûcherons font un pacte avec le diable : leur canot s'envole dans les airs et les transporte à toute allure, mais ils ne devront pas blasphémer durant la traversée, ni heurter le canot aux clochers d'une église, et être de retour avant six heures le lendemain matin. Dans le cas contraire ils perdraient leurs âmes. Pour s'assurer de respecter ces règles, les hommes se mettent d'accord pour ne plus boire une autre goutte d'alcool avant la fin de leur voyage.
Les péripéties et la fin de l'histoire varient suivant les versions. En général, les hommes parviennent à conserver leur âme.
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Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art. Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 70 x 100 cm
L'élaboration de cette toile s'est déroulée entre mai et septembre 2018. Un peu à la manière d'un cinéaste qui se voit confier la tâche de revisiter un classique. En l'occurence "La Chasse Galerie" publiée en 1891 par Honoré Beaugrand avec des illustrations d'Henri Julien. Cette histoire et sa représentation visuelle est ancrée dans l'imaginaire québecois. On peut y percevoir nombre de sous-entendus... Les contes et légendes s'y prêtent bien. Ce fut l'occasion pour moi de plonger dans mon patrimoine. Sachant qu'il est multiple et métissé. Au-delà de l'histoire originelle, l'image de ces "bras cassés" m'émeut. Ces hommes se retrouvant dans une situation hasardeuse qui leur échappe, empêtrés dans le courant qui les emportent. Vers leur perte ? Leur salut ? Ou tout simplement vers une envie de vivre pleinement malgré les risques... Pure folie épicurienne ou instinc de survie... Un mélange des deux. Sans folie l'homme est plus petit.
résumé... un groupe de bûcherons québécois de la Gatineau, le soir du Réveillon, prennent envie d'aller rendre visite à leurs blondes vivant cent lieues plus loin. Mais le seul moyen de faire ce chemin et de revenir à temps pour travailler le lendemain matin est de participer à la fameuse chasse-galerie. Les bûcherons font un pacte avec le diable : leur canot s'envole dans les airs et les transporte à toute allure, mais ils ne devront pas blasphémer durant la traversée, ni heurter le canot aux clochers d'une église, et être de retour avant six heures le lendemain matin. Dans le cas contraire ils perdraient leurs âmes. Pour s'assurer de respecter ces règles, les hommes se mettent d'accord pour ne plus boire une autre goutte d'alcool avant la fin de leur voyage.
Les péripéties et la fin de l'histoire varient suivant les versions. En général, les hommes parviennent à conserver leur âme.
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Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art. Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 70 x 100 cm
Les premiers âges de l'humanité et les sources de l'histoire
Point de départ, commande d’un particulier pour offrir un tableau à son amoureuse à l’aube d’un dénouement important. Pas de thème précis, démarche libre inspirée par la personnalité et l’univers d’une personne. Echange avec son conjoint, j’interroge et je note les différents aspects de personnalité, goûts, parcours...
Sans être intrusif ni trop curieux.
Ce n’est pas un portrait.
Inspiré par l’amour qu’ils se portent.
Une dimension spirituelle, forcément.
Savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va. Habité par le passé, tourné vers l’avenir.
Mise en scène fantasmée de rêves, de souvenirs, de doutes, d’aspirations. L’adulte aborde son subconscient avec plusieurs filtres. L’enfant y plonge avec insouciance, sans jugement de valeur.
Bande-annonce d’un rêve annoncé.
Imaginaire d’un passé à venir.
Mentagraph... J’aime l’idée que suggère ce mot inventé . Comme une technique de représentation mentale par l’image.
Point de départ, commande d’un particulier pour offrir un tableau à son amoureuse à l’aube d’un dénouement important. Pas de thème précis, démarche libre inspirée par la personnalité et l’univers d’une personne. Echange avec son conjoint, j’interroge et je note les différents aspects de personnalité, goûts, parcours...
Sans être intrusif ni trop curieux.
Ce n’est pas un portrait.
Inspiré par l’amour qu’ils se portent.
Une dimension spirituelle, forcément.
Savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va. Habité par le passé, tourné vers l’avenir.
Mise en scène fantasmée de rêves, de souvenirs, de doutes, d’aspirations. L’adulte aborde son subconscient avec plusieurs filtres. L’enfant y plonge avec insouciance, sans jugement de valeur.
Bande-annonce d’un rêve annoncé.
Imaginaire d’un passé à venir.
Mentagraph... J’aime l’idée que suggère ce mot inventé . Comme une technique de représentation mentale par l’image.
Point de départ, commande d’un particulier pour offrir un tableau à son amoureuse à l’aube d’un dénouement important. Pas de thème précis, démarche libre inspirée par la personnalité et l’univers d’une personne. Echange avec son conjoint, j’interroge et je note les différents aspects de personnalité, goûts, parcours...
Sans être intrusif ni trop curieux.
Ce n’est pas un portrait.
Inspiré par l’amour qu’ils se portent.
Une dimension spirituelle, forcément.
Savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va. Habité par le passé, tourné vers l’avenir.
Mise en scène fantasmée de rêves, de souvenirs, de doutes, d’aspirations. L’adulte aborde son subconscient avec plusieurs filtres. L’enfant y plonge avec insouciance, sans jugement de valeur.
Bande-annonce d’un rêve annoncé.
Imaginaire d’un passé à venir.
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Sans être intrusif ni trop curieux.
Ce n’est pas un portrait.
Inspiré par l’amour qu’ils se portent.
Une dimension spirituelle, forcément.
Savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va. Habité par le passé, tourné vers l’avenir.
Mise en scène fantasmée de rêves, de souvenirs, de doutes, d’aspirations. L’adulte aborde son subconscient avec plusieurs filtres. L’enfant y plonge avec insouciance, sans jugement de valeur.
Bande-annonce d’un rêve annoncé.
Imaginaire d’un passé à venir.
Mentagraph... J’aime l’idée que suggère ce mot inventé . Comme une technique de représentation mentale par l’image.
Point de départ, commande d’un particulier pour offrir un tableau à son amoureuse à l’aube d’un dénouement important. Pas de thème précis, démarche libre inspirée par la personnalité et l’univers d’une personne. Echange avec son conjoint, j’interroge et je note les différents aspects de personnalité, goûts, parcours...
Sans être intrusif ni trop curieux.
Ce n’est pas un portrait.
Inspiré par l’amour qu’ils se portent.
Une dimension spirituelle, forcément.
Savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va. Habité par le passé, tourné vers l’avenir.
Mise en scène fantasmée de rêves, de souvenirs, de doutes, d’aspirations. L’adulte aborde son subconscient avec plusieurs filtres. L’enfant y plonge avec insouciance, sans jugement de valeur.
Bande-annonce d’un rêve annoncé.
Imaginaire d’un passé à venir.
Mentagraph... J’aime l’idée que suggère ce mot inventé . Comme une technique de représentation mentale par l’image.
Un superprédateur est un prédateur qui une fois à l’âge adulte se trouve au sommet de la chaîne alimentaire et n’est alors la proie d’aucune autre espèce animale. Il est généralement caractérisé par une grande taille physique, une faible densité de population, un faible taux de reproduction, un vaste domaine vital et de larges mouvements dans ce territoire. L’Homme a longtemps été considéré comme le superprédateur ultime, et le seul à avoir la capacité d’éliminer les espèces qu’il consomme. Le requin, autre superprédateur, est indispensable à l’écosystème. Paradoxalement, un tiers des espèces de requins seraient menacées de disparition (surpêche, prise accessoire, élimination gratuite, etc.) Qu’en est-il de l’Homme? Autour de la thématique des Mers du Sud, ce diptyque «Horizons & Abysses» se veut une réflexion sur notre interaction avec l’environnement, les éléments, la nature. Allégorie sur les notions de plaisir, de progrès, d’écologie, d’urbanisation. Passé, présent, futur. Construction, destruction, évolution...
Existe aussi en tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art Canson aquarelle
Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 11 x 54 cm
Un superprédateur est un prédateur qui une fois à l’âge adulte se trouve au sommet de la chaîne alimentaire et n’est alors la proie d’aucune autre espèce animale. Il est généralement caractérisé par une grande taille physique, une faible densité de population, un faible taux de reproduction, un vaste domaine vital et de larges mouvements dans ce territoire. L’Homme a longtemps été considéré comme le superprédateur ultime, et le seul à avoir la capacité d’éliminer les espèces qu’il consomme. Le requin, autre superprédateur, est indispensable à l’écosystème. Paradoxalement, un tiers des espèces de requins seraient menacées de disparition (surpêche, prise accessoire, élimination gratuite, etc.) Qu’en est-il de l’Homme? Autour de la thématique des Mers du Sud, ce diptyque «Horizons & Abysses» se veut une réflexion sur notre interaction avec l’environnement, les éléments, la nature. Allégorie sur les notions de plaisir, de progrès, d’écologie, d’urbanisation. Passé, présent, futur. Construction, destruction, évolution...
Existe aussi en tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art Canson aquarelle
Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 11 x 54 cm
Un superprédateur est un prédateur qui une fois à l’âge adulte se trouve au sommet de la chaîne alimentaire et n’est alors la proie d’aucune autre espèce animale. Il est généralement caractérisé par une grande taille physique, une faible densité de population, un faible taux de reproduction, un vaste domaine vital et de larges mouvements dans ce territoire. L’Homme a longtemps été considéré comme le superprédateur ultime, et le seul à avoir la capacité d’éliminer les espèces qu’il consomme. Le requin, autre superprédateur, est indispensable à l’écosystème. Paradoxalement, un tiers des espèces de requins seraient menacées de disparition (surpêche, prise accessoire, élimination gratuite, etc.) Qu’en est-il de l’Homme? Autour de la thématique des Mers du Sud, ce diptyque «Horizons & Abysses» se veut une réflexion sur notre interaction avec l’environnement, les éléments, la nature. Allégorie sur les notions de plaisir, de progrès, d’écologie, d’urbanisation. Passé, présent, futur. Construction, destruction, évolution...
Existe aussi en tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art Canson aquarelle
Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 11 x 54 cm
Cette planche de skimboard traînait dans le fourbis de l'atelier de la galerie "Ici on donne des pommes". L'objet, magnifique m'a interpellé. Je suis un passionné de skateboard et snowboard depuis toujours. Je l'ai sauvé de la décheterie et m'en servis comme canvas après un poncage extrême.
Première étape, la planche est recouverte de chute de papier sur lesquels j'avais imprimé des éléments graphiques tramés. Ceux-ci destinés à d'autres toiles réalisées auparavant. Je découpe, déchire chaque morceau et les colle instinctivement, guidé par un équilibre graphique, de la même façon que lorsque l'on se tient debout sur une planche en fait.
Seconde étape, je recouvre d'un bleu de cobalt dense, prenant soin de laisser émerger certaines parties, comme autant d'îles, archipels. Des lagons imaginaires apparaîssent. Les deux faces de la planches sont recouvertes sur ce même principe. Comme un globe terrestre. Certains ont prétendus que la terre était plate...
"Mille-îles" en référence à une région du Canada.
Les Mille-Îles sont un archipel sur la frontière entre les États-Unis et le Canada, dans le fleuve Saint-Laurent, là où ce dernier émerge du coin nord-est du lac Ontario. Les îles s'étendent sur environ 50 milles (80 kilomètres) en aval de Kingston dans l'Ontario. Les îles canadiennes sont de la province d'Ontario, et les îles américaines sont de l'État de New York.
Il y a en tout 1 865 îles; certaines ont plus de 100 km2 de superficie alors que d'autres sont minuscules et n'abritent que des oiseaux de mer migrateurs. Le nombre d'îles a été déterminé en utilisant le critère affirmant que n'importe quelle île doit être au-dessus du niveau de l'eau pendant 365 jours par an, qu'elle doit abriter au moins deux arbres ou arbustes et faire au minimum 6 pieds carrés, soit un peu plus que 0,5 m2.
Quelques-unes des Mille-Îles qui s'égrènent dans les méandres du fleuve Saint-Laurent sont loties de cabanes ou de résidences d'été, accessibles en bateau ou par des ponts. Construire y est désormais contrôlé. Source: Wikipedia.
Cette planche de skimboard traînait dans le fourbis de l'atelier de la galerie "Ici on donne des pommes". L'objet, magnifique m'a interpellé. Je suis un passionné de skateboard et snowboard depuis toujours. Je l'ai sauvé de la décheterie et m'en servis comme canvas après un poncage extrême.
Première étape, la planche est recouverte de chute de papier sur lesquels j'avais imprimé des éléments graphiques tramés. Ceux-ci destinés à d'autres toiles réalisées auparavant. Je découpe, déchire chaque morceau et les colle instinctivement, guidé par un équilibre graphique, de la même façon que lorsque l'on se tient debout sur une planche en fait.
Seconde étape, je recouvre d'un bleu de cobalt dense, prenant soin de laisser émerger certaines parties, comme autant d'îles, archipels. Des lagons imaginaires apparaîssent. Les deux faces de la planches sont recouvertes sur ce même principe. Comme un globe terrestre. Certains ont prétendus que la terre était plate...
"Mille-îles" en référence à une région du Canada.
Les Mille-Îles sont un archipel sur la frontière entre les États-Unis et le Canada, dans le fleuve Saint-Laurent, là où ce dernier émerge du coin nord-est du lac Ontario. Les îles s'étendent sur environ 50 milles (80 kilomètres) en aval de Kingston dans l'Ontario. Les îles canadiennes sont de la province d'Ontario, et les îles américaines sont de l'État de New York.
Il y a en tout 1 865 îles; certaines ont plus de 100 km2 de superficie alors que d'autres sont minuscules et n'abritent que des oiseaux de mer migrateurs. Le nombre d'îles a été déterminé en utilisant le critère affirmant que n'importe quelle île doit être au-dessus du niveau de l'eau pendant 365 jours par an, qu'elle doit abriter au moins deux arbres ou arbustes et faire au minimum 6 pieds carrés, soit un peu plus que 0,5 m2.
Quelques-unes des Mille-Îles qui s'égrènent dans les méandres du fleuve Saint-Laurent sont loties de cabanes ou de résidences d'été, accessibles en bateau ou par des ponts. Construire y est désormais contrôlé. Source: Wikipedia.
Cette planche de skimboard traînait dans le fourbis de l'atelier de la galerie "Ici on donne des pommes". L'objet, magnifique m'a interpellé. Je suis un passionné de skateboard et snowboard depuis toujours. Je l'ai sauvé de la décheterie et m'en servis comme canvas après un poncage extrême.
Première étape, la planche est recouverte de chute de papier sur lesquels j'avais imprimé des éléments graphiques tramés. Ceux-ci destinés à d'autres toiles réalisées auparavant. Je découpe, déchire chaque morceau et les colle instinctivement, guidé par un équilibre graphique, de la même façon que lorsque l'on se tient debout sur une planche en fait.
Seconde étape, je recouvre d'un bleu de cobalt dense, prenant soin de laisser émerger certaines parties, comme autant d'îles, archipels. Des lagons imaginaires apparaîssent. Les deux faces de la planches sont recouvertes sur ce même principe. Comme un globe terrestre. Certains ont prétendus que la terre était plate...
"Mille-îles" en référence à une région du Canada.
Les Mille-Îles sont un archipel sur la frontière entre les États-Unis et le Canada, dans le fleuve Saint-Laurent, là où ce dernier émerge du coin nord-est du lac Ontario. Les îles s'étendent sur environ 50 milles (80 kilomètres) en aval de Kingston dans l'Ontario. Les îles canadiennes sont de la province d'Ontario, et les îles américaines sont de l'État de New York.
Il y a en tout 1 865 îles; certaines ont plus de 100 km2 de superficie alors que d'autres sont minuscules et n'abritent que des oiseaux de mer migrateurs. Le nombre d'îles a été déterminé en utilisant le critère affirmant que n'importe quelle île doit être au-dessus du niveau de l'eau pendant 365 jours par an, qu'elle doit abriter au moins deux arbres ou arbustes et faire au minimum 6 pieds carrés, soit un peu plus que 0,5 m2.
Quelques-unes des Mille-Îles qui s'égrènent dans les méandres du fleuve Saint-Laurent sont loties de cabanes ou de résidences d'été, accessibles en bateau ou par des ponts. Construire y est désormais contrôlé. Source: Wikipedia.
Cette planche de skimboard traînait dans le fourbis de l'atelier de la galerie "Ici on donne des pommes". L'objet, magnifique m'a interpellé. Je suis un passionné de skateboard et snowboard depuis toujours. Je l'ai sauvé de la décheterie et m'en servis comme canvas après un poncage extrême.
Première étape, la planche est recouverte de chute de papier sur lesquels j'avais imprimé des éléments graphiques tramés. Ceux-ci destinés à d'autres toiles réalisées auparavant. Je découpe, déchire chaque morceau et les colle instinctivement, guidé par un équilibre graphique, de la même façon que lorsque l'on se tient debout sur une planche en fait.
Seconde étape, je recouvre d'un bleu de cobalt dense, prenant soin de laisser émerger certaines parties, comme autant d'îles, archipels. Des lagons imaginaires apparaîssent. Les deux faces de la planches sont recouvertes sur ce même principe. Comme un globe terrestre. Certains ont prétendus que la terre était plate...
"Mille-îles" en référence à une région du Canada.
Les Mille-Îles sont un archipel sur la frontière entre les États-Unis et le Canada, dans le fleuve Saint-Laurent, là où ce dernier émerge du coin nord-est du lac Ontario. Les îles s'étendent sur environ 50 milles (80 kilomètres) en aval de Kingston dans l'Ontario. Les îles canadiennes sont de la province d'Ontario, et les îles américaines sont de l'État de New York.
Il y a en tout 1 865 îles; certaines ont plus de 100 km2 de superficie alors que d'autres sont minuscules et n'abritent que des oiseaux de mer migrateurs. Le nombre d'îles a été déterminé en utilisant le critère affirmant que n'importe quelle île doit être au-dessus du niveau de l'eau pendant 365 jours par an, qu'elle doit abriter au moins deux arbres ou arbustes et faire au minimum 6 pieds carrés, soit un peu plus que 0,5 m2.
Quelques-unes des Mille-Îles qui s'égrènent dans les méandres du fleuve Saint-Laurent sont loties de cabanes ou de résidences d'été, accessibles en bateau ou par des ponts. Construire y est désormais contrôlé. Source: Wikipedia.
Série de portraits réalisés à partir de reproductions anciennes de toiles de maîtres. Je brouille leur temporalité et leur offre une réincarnation après plusieurs années d’immobilisme. Hommage aux albums d’images Panini et autres cartes sportives que je collectionnais.
" Avant la photographie, la miniature représente le seul moyen de faire connaître un visage à distance.
La miniature est un objet intime : elle s'échange dans les mariages arrangés, entre fiancés qui ne se sont jamais vus ; elle s'offre entre parents séparés ; elle rappelle l'enfant trop tôt disparu… "
Presque toutes ont trouvé un foyer sauf Joseph-Antoine Moltédo et Albrecht Dürer... ; )
À suivre...
Suite de ma série de portraits miniatures réalisés à partir de reproductions anciennes de toiles de maîtres. J’aime l’idée de collection.
Ancêtre ou descendant des cartes Pokémon. Toutes ont des pouvoirs particuliers.
Suite de ma série de portraits miniatures réalisés à partir de reproductions anciennes de toiles de maîtres. J’aime l’idée de collection.
Ancêtre ou descendant des cartes Pokémon. Toutes ont des pouvoirs particuliers.
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Ancêtre ou descendant des cartes Pokémon. Toutes ont des pouvoirs particuliers.
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Ancêtre ou descendant des cartes Pokémon. Toutes ont des pouvoirs particuliers.
Suite de ma série de portraits miniatures réalisés à partir de reproductions anciennes de toiles de maîtres. J’aime l’idée de collection.
Ancêtre ou descendant des cartes Pokémon. Toutes ont des pouvoirs particuliers.
Suite de ma série de portraits miniatures réalisés à partir de reproductions anciennes de toiles de maîtres. J’aime l’idée de collection.
Ancêtre ou descendant des cartes Pokémon. Toutes ont des pouvoirs particuliers.
Suite de ma série de portraits miniatures réalisés à partir de reproductions anciennes de toiles de maîtres. J’aime l’idée de collection.
Ancêtre ou descendant des cartes Pokémon. Toutes ont des pouvoirs particuliers.
Suite de ma série de portraits miniatures réalisés à partir de reproductions anciennes de toiles de maîtres. J’aime l’idée de collection.
Ancêtre ou descendant des cartes Pokémon. Toutes ont des pouvoirs particuliers.
Suite de ma série de portraits miniatures réalisés à partir de reproductions anciennes de toiles de maîtres. J’aime l’idée de collection.
Ancêtre ou descendant des cartes Pokémon. Toutes ont des pouvoirs particuliers.
"Un mirage est une illusion d'optique.
Ce n'est pas une hallucination puisqu'on peut le photographier.
Un mirage a la même réalité que l'image d'un objet dans un miroir.
Les images produites par un mirage sont par contre sujettes à interprétation..."
J'imagine un tableau qui se voit de loin et se découvre de près. Avec des détails « cachés ». Comme une faune nichée dans le sable, derrière les rochers ; invisible mais bien présente.
La force d'une vague déferlante en tête. L'idée de l'eau comme source de vie.
L'élément marin. Et la figure féminine exprime une autre notion de force tranquille.
Un tableau, pour moi, n'est pas le reflet d'une seule réalité.
Il ne doit pas tout dire. Suggérer plutôt qu'affirmer.
Le flou est peut-être plus révélateur. Le flou artistique...
Etrangement il m'aide à y voir plus clair et plus loin.
Les formes évanescentes, cellulaires, fusionnelles.
Tout est dans tout. Abstractation figurative.
"Un mirage est une illusion d'optique.
Ce n'est pas une hallucination puisqu'on peut le photographier.
Un mirage a la même réalité que l'image d'un objet dans un miroir.
Les images produites par un mirage sont par contre sujettes à interprétation..."
J'imagine un tableau qui se voit de loin et se découvre de près. Avec des détails « cachés ». Comme une faune nichée dans le sable, derrière les rochers ; invisible mais bien présente.
La force d'une vague déferlante en tête. L'idée de l'eau comme source de vie.
L'élément marin. Et la figure féminine exprime une autre notion de force tranquille.
Un tableau, pour moi, n'est pas le reflet d'une seule réalité.
Il ne doit pas tout dire. Suggérer plutôt qu'affirmer.
Le flou est peut-être plus révélateur. Le flou artistique...
Etrangement il m'aide à y voir plus clair et plus loin.
Les formes évanescentes, cellulaires, fusionnelles.
Tout est dans tout. Abstractation figurative.
"Un mirage est une illusion d'optique.
Ce n'est pas une hallucination puisqu'on peut le photographier.
Un mirage a la même réalité que l'image d'un objet dans un miroir.
Les images produites par un mirage sont par contre sujettes à interprétation..."
J'imagine un tableau qui se voit de loin et se découvre de près. Avec des détails « cachés ». Comme une faune nichée dans le sable, derrière les rochers ; invisible mais bien présente.
La force d'une vague déferlante en tête. L'idée de l'eau comme source de vie.
L'élément marin. Et la figure féminine exprime une autre notion de force tranquille.
Un tableau, pour moi, n'est pas le reflet d'une seule réalité.
Il ne doit pas tout dire. Suggérer plutôt qu'affirmer.
Le flou est peut-être plus révélateur. Le flou artistique...
Etrangement il m'aide à y voir plus clair et plus loin.
Les formes évanescentes, cellulaires, fusionnelles.
Tout est dans tout. Abstractation figurative.
"Un mirage est une illusion d'optique.
Ce n'est pas une hallucination puisqu'on peut le photographier.
Un mirage a la même réalité que l'image d'un objet dans un miroir.
Les images produites par un mirage sont par contre sujettes à interprétation..."
J'imagine un tableau qui se voit de loin et se découvre de près. Avec des détails « cachés ». Comme une faune nichée dans le sable, derrière les rochers ; invisible mais bien présente.
La force d'une vague déferlante en tête. L'idée de l'eau comme source de vie.
L'élément marin. Et la figure féminine exprime une autre notion de force tranquille.
Un tableau, pour moi, n'est pas le reflet d'une seule réalité.
Il ne doit pas tout dire. Suggérer plutôt qu'affirmer.
Le flou est peut-être plus révélateur. Le flou artistique...
Etrangement il m'aide à y voir plus clair et plus loin.
Les formes évanescentes, cellulaires, fusionnelles.
Tout est dans tout. Abstractation figurative.
"Un mirage est une illusion d'optique.
Ce n'est pas une hallucination puisqu'on peut le photographier.
Un mirage a la même réalité que l'image d'un objet dans un miroir.
Les images produites par un mirage sont par contre sujettes à interprétation..."
J'imagine un tableau qui se voit de loin et se découvre de près. Avec des détails « cachés ». Comme une faune nichée dans le sable, derrière les rochers ; invisible mais bien présente.
La force d'une vague déferlante en tête. L'idée de l'eau comme source de vie.
L'élément marin. Et la figure féminine exprime une autre notion de force tranquille.
Un tableau, pour moi, n'est pas le reflet d'une seule réalité.
Il ne doit pas tout dire. Suggérer plutôt qu'affirmer.
Le flou est peut-être plus révélateur. Le flou artistique...
Etrangement il m'aide à y voir plus clair et plus loin.
Les formes évanescentes, cellulaires, fusionnelles.
Tout est dans tout. Abstractation figurative.
"Un mirage est une illusion d'optique.
Ce n'est pas une hallucination puisqu'on peut le photographier.
Un mirage a la même réalité que l'image d'un objet dans un miroir.
Les images produites par un mirage sont par contre sujettes à interprétation..."
J'imagine un tableau qui se voit de loin et se découvre de près. Avec des détails « cachés ». Comme une faune nichée dans le sable, derrière les rochers ; invisible mais bien présente.
La force d'une vague déferlante en tête. L'idée de l'eau comme source de vie.
L'élément marin. Et la figure féminine exprime une autre notion de force tranquille.
Un tableau, pour moi, n'est pas le reflet d'une seule réalité.
Il ne doit pas tout dire. Suggérer plutôt qu'affirmer.
Le flou est peut-être plus révélateur. Le flou artistique...
Etrangement il m'aide à y voir plus clair et plus loin.
Les formes évanescentes, cellulaires, fusionnelles.
Tout est dans tout. Abstractation figurative.
"Un mirage est une illusion d'optique.
Ce n'est pas une hallucination puisqu'on peut le photographier.
Un mirage a la même réalité que l'image d'un objet dans un miroir.
Les images produites par un mirage sont par contre sujettes à interprétation..."
J'imagine un tableau qui se voit de loin et se découvre de près. Avec des détails « cachés ». Comme une faune nichée dans le sable, derrière les rochers ; invisible mais bien présente.
La force d'une vague déferlante en tête. L'idée de l'eau comme source de vie.
L'élément marin. Et la figure féminine exprime une autre notion de force tranquille.
Un tableau, pour moi, n'est pas le reflet d'une seule réalité.
Il ne doit pas tout dire. Suggérer plutôt qu'affirmer.
Le flou est peut-être plus révélateur. Le flou artistique...
Etrangement il m'aide à y voir plus clair et plus loin.
Les formes évanescentes, cellulaires, fusionnelles.
Tout est dans tout. Abstractation figurative.
La migration comme notion de liberté
La mémoire comme repère temporel
La géométrie comme notion d’équilibre
La trame comme notion de transmission
Toile inspiré par une image du juge Roy Bean (1825-1903).
Phantly Roy Bean est une personnalité de la conquête de l'Ouest, barman et juge arbitraire qui se surnommait lui-même « La Loi à l'ouest du Pecos »
Le chiffre 4 est le grand chiffre magique de toutes les civilisations d'Amérique centrale : 4 âges pour la terre, 4 saisons, 4 races, 4 groupes sanguins, 4 points cardinaux, 4 couleurs de références , 4 animaux symboles de pouvoir (ours, aigle, souris, bison), 4 montagnes pour marquer leur territoire, 4 faces pour les pyramides, etc…
La migration comme notion de liberté
La mémoire comme repère temporel
La géométrie comme notion d’équilibre
La trame comme notion de transmission
Toile inspiré par une image du juge Roy Bean (1825-1903).
Phantly Roy Bean est une personnalité de la conquête de l'Ouest, barman et juge arbitraire qui se surnommait lui-même « La Loi à l'ouest du Pecos »
Le chiffre 4 est le grand chiffre magique de toutes les civilisations d'Amérique centrale : 4 âges pour la terre, 4 saisons, 4 races, 4 groupes sanguins, 4 points cardinaux, 4 couleurs de références , 4 animaux symboles de pouvoir (ours, aigle, souris, bison), 4 montagnes pour marquer leur territoire, 4 faces pour les pyramides, etc…
Commande d'une œuvre avec travail en direct dans le cadre de l'assemblée Nationale du Groupement des Agents Automobiles Peugeot - Sucrière, Lyon, 27 septembre 2019.
La Peugeot L76 était la voiture de compétition en formule libre du constructeur automobile durant les années 1910. Peugeot s'imposa avec ce modèle dans les courses américaines entre 1913 et 1919. La course est un laboratoire et symbolise la passion et le dépassement de soi (et des autres...).
La composition de cette photo montrant le pilote DePalma et son mécanicien Lindley Bothwell en 1916 impose le format vertical et une perspective forte.
La réalisation de ce tableau fut une aventure riche sur tout les plans. L'amorce du travail en atelier m'a permis d'être pleinement présent lors de l'événement en public. L'idée n'étant pas d'improviser, plutôt d'appronfondir le travail sereinement et échanger avec les personnes présentes. Connaître son passé pour se projeter dans le futur.
Commande d'une œuvre avec travail en direct dans le cadre de l'assemblée Nationale du Groupement des Agents Automobiles Peugeot - Sucrière, Lyon, 27 septembre 2019.
La Peugeot L76 était la voiture de compétition en formule libre du constructeur automobile durant les années 1910. Peugeot s'imposa avec ce modèle dans les courses américaines entre 1913 et 1919. La course est un laboratoire et symbolise la passion et le dépassement de soi (et des autres...).
La composition de cette photo montrant le pilote DePalma et son mécanicien Lindley Bothwell en 1916 impose le format vertical et une perspective forte.
La réalisation de ce tableau fut une aventure riche sur tout les plans. L'amorce du travail en atelier m'a permis d'être pleinement présent lors de l'événement en public. L'idée n'étant pas d'improviser, plutôt d'appronfondir le travail sereinement et échanger avec les personnes présentes. Connaître son passé pour se projeter dans le futur.
Commande d'une œuvre avec travail en direct dans le cadre de l'assemblée Nationale du Groupement des Agents Automobiles Peugeot - Sucrière, Lyon, 27 septembre 2019.
La Peugeot L76 était la voiture de compétition en formule libre du constructeur automobile durant les années 1910. Peugeot s'imposa avec ce modèle dans les courses américaines entre 1913 et 1919. La course est un laboratoire et symbolise la passion et le dépassement de soi (et des autres...).
La composition de cette photo montrant le pilote DePalma et son mécanicien Lindley Bothwell en 1916 impose le format vertical et une perspective forte.
La réalisation de ce tableau fut une aventure riche sur tout les plans. L'amorce du travail en atelier m'a permis d'être pleinement présent lors de l'événement en public. L'idée n'étant pas d'improviser, plutôt d'appronfondir le travail sereinement et échanger avec les personnes présentes. Connaître son passé pour se projeter dans le futur.
Commande d'une œuvre avec travail en direct dans le cadre de l'assemblée Nationale du Groupement des Agents Automobiles Peugeot - Sucrière, Lyon, 27 septembre 2019.
La Peugeot L76 était la voiture de compétition en formule libre du constructeur automobile durant les années 1910. Peugeot s'imposa avec ce modèle dans les courses américaines entre 1913 et 1919. La course est un laboratoire et symbolise la passion et le dépassement de soi (et des autres...).
La composition de cette photo montrant le pilote DePalma et son mécanicien Lindley Bothwell en 1916 impose le format vertical et une perspective forte.
La réalisation de ce tableau fut une aventure riche sur tout les plans. L'amorce du travail en atelier m'a permis d'être pleinement présent lors de l'événement en public. L'idée n'étant pas d'improviser, plutôt d'appronfondir le travail sereinement et échanger avec les personnes présentes. Connaître son passé pour se projeter dans le futur.
sérigraphie deux couleurs numérotés signés
visuel de l’album Pianolitudes de Martin Lizotte
Tirage limité 50 exemplaires
papier Stonehenge 245gr 100% sans acide
sérigraphie deux couleurs numérotés signés
visuel de l’album Pianolitudes de Martin Lizotte
Tirage limité 50 exemplaires
papier Stonehenge 245gr 100% sans acide
sérigraphie deux couleurs numérotés signés
visuel de l’album Pianolitudes de Martin Lizotte
Tirage limité 50 exemplaires
papier Stonehenge 245gr 100% sans acide
Réflexion autour des empreintes, Point de rencontre interroge et met en scène la notion de trajectoire. Trajectoires de véhicules lourds et puissants, dont les empreintes peuvent se révéler pleines de finesse et de subtilités. Trajectoires humaines, individuelles ou collectives, qui toutes semblent converger vers une seule direction et un seul point… de rencontre. Pour symboliser ces traces et ce chemin, j'ai travaillé à partir d’une matière brute, le pneu. Objet dont j'ai réinterprété les sillons et la sculpture. Principalement réalisée « à main levée », Point de rencontre est une œuvre qui prolonge une quête permanente dans mon travail d’artiste : trouver du sens dans ce qui peut sembler anodin.
Réflexion autour des empreintes, Point de rencontre interroge et met en scène la notion de trajectoire. Trajectoires de véhicules lourds et puissants, dont les empreintes peuvent se révéler pleines de finesse et de subtilités. Trajectoires humaines, individuelles ou collectives, qui toutes semblent converger vers une seule direction et un seul point… de rencontre. Pour symboliser ces traces et ce chemin, j'ai travaillé à partir d’une matière brute, le pneu. Objet dont j'ai réinterprété les sillons et la sculpture. Principalement réalisée « à main levée », Point de rencontre est une œuvre qui prolonge une quête permanente dans mon travail d’artiste : trouver du sens dans ce qui peut sembler anodin.
Réflexion autour des empreintes, Point de rencontre interroge et met en scène la notion de trajectoire. Trajectoires de véhicules lourds et puissants, dont les empreintes peuvent se révéler pleines de finesse et de subtilités. Trajectoires humaines, individuelles ou collectives, qui toutes semblent converger vers une seule direction et un seul point… de rencontre. Pour symboliser ces traces et ce chemin, j'ai travaillé à partir d’une matière brute, le pneu. Objet dont j'ai réinterprété les sillons et la sculpture. Principalement réalisée « à main levée », Point de rencontre est une œuvre qui prolonge une quête permanente dans mon travail d’artiste : trouver du sens dans ce qui peut sembler anodin.
Réflexion autour des empreintes, Point de rencontre interroge et met en scène la notion de trajectoire. Trajectoires de véhicules lourds et puissants, dont les empreintes peuvent se révéler pleines de finesse et de subtilités. Trajectoires humaines, individuelles ou collectives, qui toutes semblent converger vers une seule direction et un seul point… de rencontre. Pour symboliser ces traces et ce chemin, j'ai travaillé à partir d’une matière brute, le pneu. Objet dont j'ai réinterprété les sillons et la sculpture. Principalement réalisée « à main levée », Point de rencontre est une œuvre qui prolonge une quête permanente dans mon travail d’artiste : trouver du sens dans ce qui peut sembler anodin.
Réflexion autour des empreintes, Point de rencontre interroge et met en scène la notion de trajectoire. Trajectoires de véhicules lourds et puissants, dont les empreintes peuvent se révéler pleines de finesse et de subtilités. Trajectoires humaines, individuelles ou collectives, qui toutes semblent converger vers une seule direction et un seul point… de rencontre. Pour symboliser ces traces et ce chemin, j'ai travaillé à partir d’une matière brute, le pneu. Objet dont j'ai réinterprété les sillons et la sculpture. Principalement réalisée « à main levée », Point de rencontre est une œuvre qui prolonge une quête permanente dans mon travail d’artiste : trouver du sens dans ce qui peut sembler anodin.
Le collage commence par un emprunt.
Un petit bout de l’intimité de quelqu’un, de l’image d’un autre que je réinterprète.
Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion.
Avant tout, respecter les personnes dont je m’inspire et les histoires qu’elles me donnent à raconter.
Devoir de mémoire d’une réalité sublimée.
Le collage commence par un emprunt.
Un petit bout de l’intimité de quelqu’un, de l’image d’un autre que je réinterprète.
Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion.
Avant tout, respecter les personnes dont je m’inspire et les histoires qu’elles me donnent à raconter.
Devoir de mémoire d’une réalité sublimée.
Le collage commence par un emprunt.
Un petit bout de l’intimité de quelqu’un, de l’image d’un autre que je réinterprète.
Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion.
Avant tout, respecter les personnes dont je m’inspire et les histoires qu’elles me donnent à raconter.
Devoir de mémoire d’une réalité sublimée.
Le collage commence par un emprunt.
Un petit bout de l’intimité de quelqu’un, de l’image d’un autre que je réinterprète.
Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion.
Avant tout, respecter les personnes dont je m’inspire et les histoires qu’elles me donnent à raconter.
Devoir de mémoire d’une réalité sublimée.
Le collage commence par un emprunt.
Un petit bout de l’intimité de quelqu’un, de l’image d’un autre que je réinterprète.
Lui redonner vie sous une autre forme en recréant une histoire à travers une émotion.
Avant tout, respecter les personnes dont je m’inspire et les histoires qu’elles me donnent à raconter.
Devoir de mémoire d’une réalité sublimée.
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 30 x 40 cm
Existe aussi en édition limitée / numérotée / signée / 10 exemplaires
Tirage Fine-Art imprimé sur papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 30 x 40 cm
Un paysage en apesanteur, un visage de femme gravé sur un morceau de corail. Immergé, comme un songe qui ondule avec le courant. « On ne se baigne jamais deux fois dans la même rivière car l’eau s’est écoulée ».
Fasciné depuis toujours par le requin, je l’ai mis en scène plusieurs fois. A la fois craint et menacé, il évolue ici au milieu d’un monde entre deux eaux; à la fois chaotique et merveilleux. L’eau et l’air se confondent.
Un visage de femme gravé sur un morceau de corail, immobile face au courant qui porte 2 requins. Un aileron immergé suggère la surface. Les directions sont opposées…
Un paysage en apesanteur, un visage de femme gravé sur un morceau de corail. Immergé, comme un songe qui ondule avec le courant. « On ne se baigne jamais deux fois dans la même rivière car l’eau s’est écoulée ».
Fasciné depuis toujours par le requin, je l’ai mis en scène plusieurs fois. A la fois craint et menacé, il évolue ici au milieu d’un monde entre deux eaux; à la fois chaotique et merveilleux. L’eau et l’air se confondent.
Un visage de femme gravé sur un morceau de corail, immobile face au courant qui porte 2 requins. Un aileron immergé suggère la surface. Les directions sont opposées…
Un paysage en apesanteur, un visage de femme gravé sur un morceau de corail. Immergé, comme un songe qui ondule avec le courant. « On ne se baigne jamais deux fois dans la même rivière car l’eau s’est écoulée ».
Fasciné depuis toujours par le requin, je l’ai mis en scène plusieurs fois. A la fois craint et menacé, il évolue ici au milieu d’un monde entre deux eaux; à la fois chaotique et merveilleux. L’eau et l’air se confondent.
Un visage de femme gravé sur un morceau de corail, immobile face au courant qui porte 2 requins. Un aileron immergé suggère la surface. Les directions sont opposées…
Elaborée à partir d'une de mes boîtes de jouets retrouvée gisant depuis des années sur une étagère oubliée. Une maquette à assembler du bombardier B-24 J Liberator de la marque Monogram.
Un tableau chargé, au propre comme au figuré. Comme un plateau de jeu de société. Notamment "Serpents et échelles" ou le "Jeu de l'échelle" qui consiste à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en espérant monter les échelles et éviter de trébucher sur les serpents qui font redescendre.
Si j'avais les ailes d'un ange je partirais pour...
C'est le 3 ème fois que je réalise une œuvre à partir de mes emballages de jouets. Bouillon de culture populaire, concentré de paradoxes, échappatoire...
Le jouet a dopé mon imaginaire.
Comme une drogue avec des effets de " retour " qui amène à revivre un état émotionnel et/ou sensoriel.
« Il reste toujours quelque chose de l'enfance, toujours » .
Marguerite Duras / écrivaine, 1914 - 1996
Elaborée à partir d'une de mes boîtes de jouets retrouvée gisant depuis des années sur une étagère oubliée. Une maquette à assembler du bombardier B-24 J Liberator de la marque Monogram.
Un tableau chargé, au propre comme au figuré. Comme un plateau de jeu de société. Notamment "Serpents et échelles" ou le "Jeu de l'échelle" qui consiste à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en espérant monter les échelles et éviter de trébucher sur les serpents qui font redescendre.
Si j'avais les ailes d'un ange je partirais pour...
C'est le 3 ème fois que je réalise une œuvre à partir de mes emballages de jouets. Bouillon de culture populaire, concentré de paradoxes, échappatoire...
Le jouet a dopé mon imaginaire.
Comme une drogue avec des effets de " retour " qui amène à revivre un état émotionnel et/ou sensoriel.
« Il reste toujours quelque chose de l'enfance, toujours » .
Marguerite Duras / écrivaine, 1914 - 1996
Elaborée à partir d'une de mes boîtes de jouets retrouvée gisant depuis des années sur une étagère oubliée. Une maquette à assembler du bombardier B-24 J Liberator de la marque Monogram.
Un tableau chargé, au propre comme au figuré. Comme un plateau de jeu de société. Notamment "Serpents et échelles" ou le "Jeu de l'échelle" qui consiste à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en espérant monter les échelles et éviter de trébucher sur les serpents qui font redescendre.
Si j'avais les ailes d'un ange je partirais pour...
C'est le 3 ème fois que je réalise une œuvre à partir de mes emballages de jouets. Bouillon de culture populaire, concentré de paradoxes, échappatoire...
Le jouet a dopé mon imaginaire.
Comme une drogue avec des effets de " retour " qui amène à revivre un état émotionnel et/ou sensoriel.
« Il reste toujours quelque chose de l'enfance, toujours » .
Marguerite Duras / écrivaine, 1914 - 1996
Elaborée à partir d'une de mes boîtes de jouets retrouvée gisant depuis des années sur une étagère oubliée. Une maquette à assembler du bombardier B-24 J Liberator de la marque Monogram.
Un tableau chargé, au propre comme au figuré. Comme un plateau de jeu de société. Notamment "Serpents et échelles" ou le "Jeu de l'échelle" qui consiste à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en espérant monter les échelles et éviter de trébucher sur les serpents qui font redescendre.
Si j'avais les ailes d'un ange je partirais pour...
C'est le 3 ème fois que je réalise une œuvre à partir de mes emballages de jouets. Bouillon de culture populaire, concentré de paradoxes, échappatoire...
Le jouet a dopé mon imaginaire.
Comme une drogue avec des effets de " retour " qui amène à revivre un état émotionnel et/ou sensoriel.
« Il reste toujours quelque chose de l'enfance, toujours » .
Marguerite Duras / écrivaine, 1914 - 1996
Le visage devient paysage
Les éléments défient la logique et le temps
La légerté des voiles
Incrustées dans le roc
Profondeur, surface, horizon
Des repères pour mieux sauter dans le vide
Mais à deux
"If the sun refuse to shine
I don’t mind, I don’t mind
If the mountains fell in the sea
let it be, it ain’t me
‘cos I got my own world to look through
And I ain’t gonna copy you"
"If the sun refuse to shine
I don’t mind, I don’t mind
If the mountains fell in the sea
let it be, it ain’t me
‘cos I got my own world to look through
And I ain’t gonna copy you"
"If the sun refuse to shine
I don’t mind, I don’t mind
If the mountains fell in the sea
let it be, it ain’t me
‘cos I got my own world to look through
And I ain’t gonna copy you"
"If the sun refuse to shine
I don’t mind, I don’t mind
If the mountains fell in the sea
let it be, it ain’t me
‘cos I got my own world to look through
And I ain’t gonna copy you"
"If the sun refuse to shine
I don’t mind, I don’t mind
If the mountains fell in the sea
let it be, it ain’t me
‘cos I got my own world to look through
And I ain’t gonna copy you"
L’ubiquité ou l’omniprésence est la capacité d’être présent en tout lieu ou en plusieurs lieux simultanément. Le terme est dérivé du latin « ubique » qui signifie « partout ». La notion se rencontre aussi bien dans les domaines de la théologie, de l’informatique, de la biologie, de l’écologie, de la géologie, de la sociologie, et des mathématiques.
Ici, en l’occurrence, un oiseau, léger, hors du temps. Son corps est une main. Il suit sa route faisant fi des flèches. Il a la capacité d’être présent en tout lieu ou en plusieurs lieux simultanément.
Cette œuvre illustre le dernier album du pianiste québécois Martin Lizotte.
Existe aussi en tirage Fine-Art / papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 20 x 30 cm
L’ubiquité ou l’omniprésence est la capacité d’être présent en tout lieu ou en plusieurs lieux simultanément. Le terme est dérivé du latin « ubique » qui signifie « partout ». La notion se rencontre aussi bien dans les domaines de la théologie, de l’informatique, de la biologie, de l’écologie, de la géologie, de la sociologie, et des mathématiques.
Ici, en l’occurrence, un oiseau, léger, hors du temps. Son corps est une main. Il suit sa route faisant fi des flèches. Il a la capacité d’être présent en tout lieu ou en plusieurs lieux simultanément.
Cette œuvre illustre le dernier album du pianiste québécois Martin Lizotte.
Existe aussi en tirage Fine-Art / papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 20 x 30 cm
L’ubiquité ou l’omniprésence est la capacité d’être présent en tout lieu ou en plusieurs lieux simultanément. Le terme est dérivé du latin « ubique » qui signifie « partout ». La notion se rencontre aussi bien dans les domaines de la théologie, de l’informatique, de la biologie, de l’écologie, de la géologie, de la sociologie, et des mathématiques.
Ici, en l’occurrence, un oiseau, léger, hors du temps. Son corps est une main. Il suit sa route faisant fi des flèches. Il a la capacité d’être présent en tout lieu ou en plusieurs lieux simultanément.
Cette œuvre illustre le dernier album du pianiste québécois Martin Lizotte.
Existe aussi en tirage Fine-Art / papier d’art 100% coton (Hahnemühle PhotoRag® 310g). Encres pigmentaires Epson K-3.
Format : 20 x 30 cm
Fasciné depuis toujours par l'élément marin, j'aime l'apesanteur qu'il procure.
En mouvement et immobile à la fois.
L’eau est source de vie et en même temps un environnement hostile à l'homme en tant qu'espace de vie. La frontière finale sous nos pieds. L’analogie avec l'espace, le cosmos, est naturelle. Les trous noirs et autres antimatières, l'absence de début et de fin.
Le vertige.
Ce vertige qui disparaît sous l’eau. Antinomique avec la condition même de l’ange. L'ange qui donne son nom à un poisson tropical.
Le titre m'a été suggéré par mes amis Manuel Laroche, auteur de textes à chanson depuis plus de quinze ans et Martin Léon, musicien, auteur, compositeur, un frère depuis 40 ans.
Fasciné depuis toujours par l'élément marin, j'aime l'apesanteur qu'il procure.
En mouvement et immobile à la fois.
L’eau est source de vie et en même temps un environnement hostile à l'homme en tant qu'espace de vie. La frontière finale sous nos pieds. L’analogie avec l'espace, le cosmos, est naturelle. Les trous noirs et autres antimatières, l'absence de début et de fin.
Le vertige.
Ce vertige qui disparaît sous l’eau. Antinomique avec la condition même de l’ange. L'ange qui donne son nom à un poisson tropical.
Le titre m'a été suggéré par mes amis Manuel Laroche, auteur de textes à chanson depuis plus de quinze ans et Martin Léon, musicien, auteur, compositeur, un frère depuis 40 ans.
Fasciné depuis toujours par l'élément marin, j'aime l'apesanteur qu'il procure.
En mouvement et immobile à la fois.
L’eau est source de vie et en même temps un environnement hostile à l'homme en tant qu'espace de vie. La frontière finale sous nos pieds. L’analogie avec l'espace, le cosmos, est naturelle. Les trous noirs et autres antimatières, l'absence de début et de fin.
Le vertige.
Ce vertige qui disparaît sous l’eau. Antinomique avec la condition même de l’ange. L'ange qui donne son nom à un poisson tropical.
Le titre m'a été suggéré par mes amis Manuel Laroche, auteur de textes à chanson depuis plus de quinze ans et Martin Léon, musicien, auteur, compositeur, un frère depuis 40 ans.
Fasciné depuis toujours par l'élément marin, j'aime l'apesanteur qu'il procure.
En mouvement et immobile à la fois.
L’eau est source de vie et en même temps un environnement hostile à l'homme en tant qu'espace de vie. La frontière finale sous nos pieds. L’analogie avec l'espace, le cosmos, est naturelle. Les trous noirs et autres antimatières, l'absence de début et de fin.
Le vertige.
Ce vertige qui disparaît sous l’eau. Antinomique avec la condition même de l’ange. L'ange qui donne son nom à un poisson tropical.
Le titre m'a été suggéré par mes amis Manuel Laroche, auteur de textes à chanson depuis plus de quinze ans et Martin Léon, musicien, auteur, compositeur, un frère depuis 40 ans.
